Plusieurs personnes, ainsi que certain membres du gouvernement, se demandent pourquoi la Marijuana es-t-elle illégale. La vrai question est pourquoi ne devrai-t-elle pas être légale? Ce texte traitera des effets positifs de la légalisation de la Marijuana.
La Liberté, pour commencer, est une des raisons majeures des protestations contre cette loi. Les gens devraient avoir le pouvoir de faire leurs propres décisions. Pourquoi pas, non seulement concernant la marijuana, mais dans tout les sujets, leur laisser la liberté.
Aussi, la Marijuana est un médicament très utile. Elle sert d’une drogue de relaxation qui relève nausée causée par le cancer ou les infections sexuelles. Les effets secondaires de la marijuana, l’appétit et la fatigue, sont aussi utiles pour traitements contre un manque de sommeil et l’anorexie.
Ensuite, le prix pour garder la Marijuana illégale est très élevé. Lorsque si elle devient légal, le gouvernement sauverai plein d’argent au niveau de la sécurité, la police, et même gagnerai un peu d’argent si une taxe est mise sur la vente de marijuana en mêmes principes que l’alcool et les cigarettes. Le coût sauvé pourrait être pour l’éducation des jeunes. Les études prouvent que les jeunes commencent à fumer des cigarettes et la marijuana parce qu’ils sont tannés et n’ont rien à faire.
En fait, Le gouvernement à seulement le droit d’enlever la marijuana si elle met en danger la vie à quelqu’un. Mais ceci ne s’applique pas à la marijuana puisque la personne l’achète par elle même, pareille comme les magasins « N.B. Liquor » dont la drogue est encore plus puissante mais encore en vente. Et devrai recevoir une limite de consommation avant la conduite.
En plus, la légalisation de la marijuana ajoute à notre agriculture une addition de la plante Hemp. Aussi à notre industrialisation une nouvelle carrière, plus de travail, plus d’argent pour le gouvernement et aucun danger possible : c’est juste une plante!
Ensuite, certaines religions, comme les hindus, Les bouddhistes, les rastafarians, et des membres de d’autres religions utilisent la marijuana, à la place du vin comme le christianisme, pour leurs cérémonies. Ces personnes devraient avoir le droit de pratiquer leurs croyances religieuses.
Par conséquence, la marijuana possède aussi une chance à la dépendance. Mais cette très petite chance est beaucoup moins élevée que celle auquel sont exposée les gens qui consomme de l’alcool et des cigarettes. Même si la cigarette est une drogue qui possède encore plus d’accros que l’Héroïne et la Cocaïne, elle est vendue dans n’importe quel dépanneurs ou magasins de tabac alors l’argument de l’addiction n’est pas une raison valable pour la conservée illégale.
Huitièmement, les jeunes commencent de plus en plus à fumer la marijuana. Parce que c’est disponible et elle à le même effet sur eux que la pomme interdite (référence à la bible). Si la marijuana était Légal et vendu aux dépanneurs… il y aurait un âge minimal, qui du point de vue des enfants essaieraient moins d’en avoir puisqu’elle serait moins disponible dans les rues puisque l’argent serait moins bon pour ceux qui en faisant la contrebande.
Aussi, la santé des gens est en jeu. Les chances que la marijuana achetée dans la rue soit contaminée sont hautes, surtout si l’acheteur ne sait pas la différence. Si elle serait vendue en magasins, les gens seraient 100% sûr qu’elle est propre. Par « propre » je veux dire qu’elle ne serait pas asperger avec du gaz, malpropre ou remplit de cristaux que rendent celle-ci plus lourde pour faire plus d’argent.
Dixièmement, Les jeunes aussi, non seulement les criminels, vendent dans les rues. Ce qui est très dangereux pour eux et encourage l’apprentissage à un recours à la violence en cas de danger, bloque la possibilité d’aide de la police et beaucoup de gens vont en prison seulement pour possession de marijuana. S’ils mettraient la vie d’un civile en danger sous l’influence, je comprends qu’ils vont en prison, mais pour possession je n’y vois rien de mal… C’est une plante! Ce qui créé un problème pour l’individu lorsqu’il veut voyager internationalement, même s’il n’a rien fait de mal. Si la marijuana serait vendue dans les magasins, ce ne serait pas un problème.
« Un comité spécial du Sénat a affirmé que la marijuana n’est pas une drogue d’introduction et, de ce fait, elle devrait être traitée comme le tabac ou l’alcool. » -Gouvernement du Canada.
En conclusion, la Marijuana devrait être légale. Pourquoi pas?
lundi 8 février 2010
Les hommes resteront- ils toujours supérieurs aux femmes?
Depuis la nuit des temps, quand Ève prit la décision de manger la belle pomme, les femmes ont été perçues comme étant inférieures aux hommes. En 1816, la constitution de la monarchie affirme que selon le Code civil, les femmes doivent obéir à leur mari. De plus, le rétablissement du divorce est interdit sous la restauration. Alors, au XIX siècle les femmes se défendront pour le droit à l’éducation, le droit au travail et le droit de vote. Ce mouvement avec le temps réussit à atteindre leurs objectifs, mais cela ne veut pas dire qu’elles sont égales aux hommes.
Les hommes ont toujours été physiquement plus forts, cela n’a donc pas aidé les femmes. Puisqu’ils sont plus forts, certains trouvent le droit d’abaisser et de se dire supérieurs aux femmes. Avec cette mentalité, ils se permettent aussi d’utiliser la violence contre les femmes. Il y a même des personnes qui ont fondé des maisons pour ces femmes victimes. Il y a des statistiques récupérées par la Santé Canada qui partagent qu’en 1998 les femmes sont neuf fois plus victimes d’agression par un conjoint. En 1977 jusqu'à 1996, trois fois plus de femmes ont été tuées par leur conjoint. Les filles sont plus à risque entre l’âge de 12 et 15 ans d’être violées par un membre de la famille. En 2008 au Québec, le Ministre de la sécurité publique dit que dans 17 321 infractions enregistrées par la police, 14 242 de ce nombre sont des femmes et puis neuf femmes sur onze personnes ont été tuées. Alors, comme vous pouvez le voir, les femmes ont dû se regrouper et puis se battre pour les droits humains, mais cela n’est pas facile quand elles n’ont pas la force physique nécessaire et que leurs paroles ne sont pas respectées.
De plus en 1792, Mary Wollstonecraft fait paraître : « Défense du droit des femmes ». Elle reproche l’exploitation sexuelle des femmes pauvres sur le marchée du travail. Cela est un gros problème chez les femmes. Elles peuvent subir de la violence en plus de l’agressivités sexuelles. Statistiques Canada en 1993, démontre que la moitié des Canadiennes (51%) sont victimes d’au moins un acte de violence physique ou sexuelle depuis l’âge de 16 ans. Environ 60% des femmes ont vécu cet acte plus d’une fois. De plus, 83% des femmes handicapées seront agressées sexuellement dans leur vie. Les femmes ont le droit de refuser des contacts sexuels en tout temps car c’est la loi, mais parfois les hommes ne comprennent pas le « NON ». Ils pensent c’est la faute de celle-ci d’être dans une telle situation parce qu’elle est habillée d’une façon provocante. Alors cela dit, on remet à nouveau des restrictions aux femmes. Si une femme veut avoir du plaisir et s’habiller de façon attirante pour être confiante et se trouver belle, cela ne donne pas le droit aux hommes de la violer. Les médias ajoutent beaucoup de pression et influencent les femmes. Alors, cela est un gros facteur affectant comment une femme s’habille. C’est un peu ironique, car ces publicités sont souvent créées par des hommes!
Pour conclure, nous devons enlever cette pensé que les hommes sont supérieurs aux femmes. Tout être humain devrait être respecté de la même façon. Alors, touts les gens seraient égaux. Je pense qu’aujourd’hui les femmes prennent plus les choses en mains.
Les hommes ont toujours été physiquement plus forts, cela n’a donc pas aidé les femmes. Puisqu’ils sont plus forts, certains trouvent le droit d’abaisser et de se dire supérieurs aux femmes. Avec cette mentalité, ils se permettent aussi d’utiliser la violence contre les femmes. Il y a même des personnes qui ont fondé des maisons pour ces femmes victimes. Il y a des statistiques récupérées par la Santé Canada qui partagent qu’en 1998 les femmes sont neuf fois plus victimes d’agression par un conjoint. En 1977 jusqu'à 1996, trois fois plus de femmes ont été tuées par leur conjoint. Les filles sont plus à risque entre l’âge de 12 et 15 ans d’être violées par un membre de la famille. En 2008 au Québec, le Ministre de la sécurité publique dit que dans 17 321 infractions enregistrées par la police, 14 242 de ce nombre sont des femmes et puis neuf femmes sur onze personnes ont été tuées. Alors, comme vous pouvez le voir, les femmes ont dû se regrouper et puis se battre pour les droits humains, mais cela n’est pas facile quand elles n’ont pas la force physique nécessaire et que leurs paroles ne sont pas respectées.
De plus en 1792, Mary Wollstonecraft fait paraître : « Défense du droit des femmes ». Elle reproche l’exploitation sexuelle des femmes pauvres sur le marchée du travail. Cela est un gros problème chez les femmes. Elles peuvent subir de la violence en plus de l’agressivités sexuelles. Statistiques Canada en 1993, démontre que la moitié des Canadiennes (51%) sont victimes d’au moins un acte de violence physique ou sexuelle depuis l’âge de 16 ans. Environ 60% des femmes ont vécu cet acte plus d’une fois. De plus, 83% des femmes handicapées seront agressées sexuellement dans leur vie. Les femmes ont le droit de refuser des contacts sexuels en tout temps car c’est la loi, mais parfois les hommes ne comprennent pas le « NON ». Ils pensent c’est la faute de celle-ci d’être dans une telle situation parce qu’elle est habillée d’une façon provocante. Alors cela dit, on remet à nouveau des restrictions aux femmes. Si une femme veut avoir du plaisir et s’habiller de façon attirante pour être confiante et se trouver belle, cela ne donne pas le droit aux hommes de la violer. Les médias ajoutent beaucoup de pression et influencent les femmes. Alors, cela est un gros facteur affectant comment une femme s’habille. C’est un peu ironique, car ces publicités sont souvent créées par des hommes!
Pour conclure, nous devons enlever cette pensé que les hommes sont supérieurs aux femmes. Tout être humain devrait être respecté de la même façon. Alors, touts les gens seraient égaux. Je pense qu’aujourd’hui les femmes prennent plus les choses en mains.
Une restriction utile
L’utilisation du téléphone cellulaire au volant augmente les risques d’accidents. C’est pourquoi une loi a été adoptée dans certaines provinces au Canada, comme la Nouvelle-Écosse, pour interdire les gens d’utiliser un téléphone cellulaire pendant la conduite. Cela est essentiel pour s’assurer que les gens gardent leurs yeux sur la route en tout temps. Donc, il y aura certainement moins de risque de collisions, puisque les gens vont éviter de parler à l’appareil ou envoyer des messages électroniques.
En premier lieu, les gens qui conduisent une automobile ont besoin d’une grande concentration sur la route, car ce sont eux qui contrôlent le véhicule. Étant donné que les téléphones portables exigent l’attention des automobilistes à leur conversation, ils seront moins prudents dans la circulation. La réaction pour freiner notre véhicule pourrait être ralentie. Selon une étude à l’Université de Utah, un jeune conducteur prend plus de temps qu’une personne âgée à réagir lorsqu’il utilise le cellulaire au volant. Notamment, il pourrait manquer un feu rouge ou un arrêt ainsi qu’un piéton, ce qui pourrait produire une collision, voire fatalité. D’après des chercheurs, ceux qui parlent au mobile augmentent quatre fois la chance de causer un accident .
De plus, cette loi a aussi pour but d’empêcher les conducteurs de transférer et de lire des messages électroniques. Pourvu que cela soit une situation encore plus dangereuse, parce qu’ils doivent non seulement se concentrer sur le message, mais aussi manipuler l’appareil. Une étude provenant d’une recherche sur les transports de l'Université de Montréal indique que les conducteurs qui se servent de leur téléphone portable ont un taux de 38% d’accidents en 2001 .
En fin de compte, il est vrai qu’un téléphone cellulaire est un outil indispensable. On peut s’en servir pour des cas nécessaires. Mais, pour assurer la sécurité sur la route, on peut toujours arrêter à un endroit propice pour faire un appel. Il s’agit d’une absence de précaution lorsqu’on utilise un téléphone portable pour soit parler ou envoyer des messages au volant. Alors, c’est le temps de respecter la loi afin de maintenir la sécurité non seulement pour soi-même, mais aussi pour les autres.
En premier lieu, les gens qui conduisent une automobile ont besoin d’une grande concentration sur la route, car ce sont eux qui contrôlent le véhicule. Étant donné que les téléphones portables exigent l’attention des automobilistes à leur conversation, ils seront moins prudents dans la circulation. La réaction pour freiner notre véhicule pourrait être ralentie. Selon une étude à l’Université de Utah, un jeune conducteur prend plus de temps qu’une personne âgée à réagir lorsqu’il utilise le cellulaire au volant. Notamment, il pourrait manquer un feu rouge ou un arrêt ainsi qu’un piéton, ce qui pourrait produire une collision, voire fatalité. D’après des chercheurs, ceux qui parlent au mobile augmentent quatre fois la chance de causer un accident .
De plus, cette loi a aussi pour but d’empêcher les conducteurs de transférer et de lire des messages électroniques. Pourvu que cela soit une situation encore plus dangereuse, parce qu’ils doivent non seulement se concentrer sur le message, mais aussi manipuler l’appareil. Une étude provenant d’une recherche sur les transports de l'Université de Montréal indique que les conducteurs qui se servent de leur téléphone portable ont un taux de 38% d’accidents en 2001 .
En fin de compte, il est vrai qu’un téléphone cellulaire est un outil indispensable. On peut s’en servir pour des cas nécessaires. Mais, pour assurer la sécurité sur la route, on peut toujours arrêter à un endroit propice pour faire un appel. Il s’agit d’une absence de précaution lorsqu’on utilise un téléphone portable pour soit parler ou envoyer des messages au volant. Alors, c’est le temps de respecter la loi afin de maintenir la sécurité non seulement pour soi-même, mais aussi pour les autres.
Chirurgie esthétique, est-ce vraiment une bonne idée?
Aujourd’hui, de plus en plus de gens on recours à la chirurgie esthétique, le plus souvent dans le but de retoucher une partie de leur corps qu’ils n’aiment pas. Ce n’est pas bien et voici pourquoi.
Tout d’abord, les sessions ne sont pas parfaites, il est fort probable qu’il y ait des erreurs. Après la session chirurgicale, il faut arrêter toutes activités quotidiennes pour régénérer les tissus musculaires qui ont été détruits lors de la chirurgie. Il faut aussi éviter certaines choses comme le soleil, le sel, l’alcool et les épices, qui pourraient nuire à la guérison. Une chirurgie esthétique prend au moins un an à guérir et laisse toujours des cicatrices comme toute autre chirurgie. Dans des cas plus graves, il peut y avoir des risques de mortalité, mais ce qui est quand même rare. C’est pourquoi les chirurgiens ne sont pas tous de bons chirurgiens et donc, il serait préférable d’en trouver un sur qui vous pouvez compter.
De plus, une session coûte très cher et peut varier entre 3 630 à 12 630 dollars canadien. Pourquoi irait-on se refaire le nez, les rides ou encore les seins à un prix pareil quand nous pourrions tout simplement acheter quelque chose d’utile comme de nouveaux vêtements par exemple? Dans le cas de Britney Spears, elle a pris beaucoup de poids depuis ses deux grossesses. Voulant redevenir mince comme avant, elle a donc décidé de dépensé 350 000 dollars américains pour se faire refaire la poitrine et le ventre quand une diète et un peu d’exercice auraient suffit. Une véritable perte de temps et d’argent.
Pour conclure, la chirurgie esthétique n’est pas une bonne idée. Les prix sont très élevés, et les gens perdent beaucoup d’argent, même que certains ne sont pas content du résultat final. Et alors, ce n’est pas la beauté extérieur qui compte, c’est la beauté intérieur. Ne devrions-nous pas nous contenter de notre beauté naturelle?
Tout d’abord, les sessions ne sont pas parfaites, il est fort probable qu’il y ait des erreurs. Après la session chirurgicale, il faut arrêter toutes activités quotidiennes pour régénérer les tissus musculaires qui ont été détruits lors de la chirurgie. Il faut aussi éviter certaines choses comme le soleil, le sel, l’alcool et les épices, qui pourraient nuire à la guérison. Une chirurgie esthétique prend au moins un an à guérir et laisse toujours des cicatrices comme toute autre chirurgie. Dans des cas plus graves, il peut y avoir des risques de mortalité, mais ce qui est quand même rare. C’est pourquoi les chirurgiens ne sont pas tous de bons chirurgiens et donc, il serait préférable d’en trouver un sur qui vous pouvez compter.
De plus, une session coûte très cher et peut varier entre 3 630 à 12 630 dollars canadien. Pourquoi irait-on se refaire le nez, les rides ou encore les seins à un prix pareil quand nous pourrions tout simplement acheter quelque chose d’utile comme de nouveaux vêtements par exemple? Dans le cas de Britney Spears, elle a pris beaucoup de poids depuis ses deux grossesses. Voulant redevenir mince comme avant, elle a donc décidé de dépensé 350 000 dollars américains pour se faire refaire la poitrine et le ventre quand une diète et un peu d’exercice auraient suffit. Une véritable perte de temps et d’argent.
Pour conclure, la chirurgie esthétique n’est pas une bonne idée. Les prix sont très élevés, et les gens perdent beaucoup d’argent, même que certains ne sont pas content du résultat final. Et alors, ce n’est pas la beauté extérieur qui compte, c’est la beauté intérieur. Ne devrions-nous pas nous contenter de notre beauté naturelle?
L’affichage en français?
Le mardi 10 novembre 2009, la ville de Dieppe a mis au point une nouvelle loi concernant les affiches publicitaires des entreprises. Celle-ci stipule : « Maintenant, chaque entreprise à Dieppe qui fera de l’aménagement extérieure devra présenter leur produit dans les deux langues ou seulement en français ». Est-ce une bonne idée d’imposée cette loi à la ville de Moncton. Je suis certain que cette idée ne sera absolument pas refusée par les francophones de Moncton.
Selon la charte canadienne des droits et libertés : « Le français et l’anglais sont les langues officielles du Nouveau- Brunswick ; ils ont un statut et des droits et privilèges égaux […] ». Ceci dit, les citoyens de la ville de Moncton ont le droit d’obtenir l’affichage bilingue, il suffit seulement de mettre l’effort et de demander pour ce service. De plus, on compte 35% pourcents de francophones dans la ville, ce qui est presque plus que la moitié de la population.
Concernant notre ville, elle a été nommée la seule ville à être bilingue au Canada, alors il serait normal que les entreprises fassent un effort. De plus, avec le Congrès mondiale acadien qui c’est produit à Caraquet , il est normal qu’il y ait des visiteurs francophones qui passent par Moncton et viennent nous visiter.
Également, il y a beaucoup de touristes venant du nord de la province qui viennent magasiner à Moncton. Parmi ses personnes, la majorité des gens sont francophones. Alors, il serait brillant de la part des entreprises d’attirer le plus de gens possible en offrant les affiches bilingues et un service dans les deux langues.
En conclusion, cette demande devrait être prise au sérieux par le conseil de ville. On n’a autant de droit que les anglophones, alors, pourquoi ne pas faire un effort puis de demander un service en français? Je vous jure que cela ne fait pas mal!
Selon la charte canadienne des droits et libertés : « Le français et l’anglais sont les langues officielles du Nouveau- Brunswick ; ils ont un statut et des droits et privilèges égaux […] ». Ceci dit, les citoyens de la ville de Moncton ont le droit d’obtenir l’affichage bilingue, il suffit seulement de mettre l’effort et de demander pour ce service. De plus, on compte 35% pourcents de francophones dans la ville, ce qui est presque plus que la moitié de la population.
Concernant notre ville, elle a été nommée la seule ville à être bilingue au Canada, alors il serait normal que les entreprises fassent un effort. De plus, avec le Congrès mondiale acadien qui c’est produit à Caraquet , il est normal qu’il y ait des visiteurs francophones qui passent par Moncton et viennent nous visiter.
Également, il y a beaucoup de touristes venant du nord de la province qui viennent magasiner à Moncton. Parmi ses personnes, la majorité des gens sont francophones. Alors, il serait brillant de la part des entreprises d’attirer le plus de gens possible en offrant les affiches bilingues et un service dans les deux langues.
En conclusion, cette demande devrait être prise au sérieux par le conseil de ville. On n’a autant de droit que les anglophones, alors, pourquoi ne pas faire un effort puis de demander un service en français? Je vous jure que cela ne fait pas mal!
MAIGRIR = MOURIR ?
Depuis vingt – cinq ans, de nombreux problèmes de santé envahissent les citoyens canadiens, en particulier l’obésité. Pour pouvoir perdre un surplus de poids, plusieurs Canadiens ont recours soit aux diètes, soit aux pilules amaigrissantes. Les questions que nous devons nous poser sont les suivantes : comment les produits achetés dans Internet sont – ils vraiment fabriqués? Quelle est la vraie utilité de certains ingrédients qui se trouvent dans ces produits? Quels sont les risques et les conséquences médicales vis – à – vis des produits amaigrissants? C’est ce que nous allons découvrir.
En premier lieu, il y a la fabrication des produits amaigrissants. Plusieurs compagnies de commerce aiment vendre leurs produits dans Internet et à la télévision. Ce sont les meilleures méthodes pour avoir une bonne clientèle et également les pires endroits où acheter certains produits. Surtout quand cela concerne des médicaments, de la nourriture, des pilules et bien plus encore. Il est conseillé de les acheter au magasin. Pourquoi? Selon la direction des produits de santé commercialisés la plupart des produits vendus sont fabriqués dans des endroits ou l’hygiène est douteuse ou même négligée. Ces pilules peuvent contenir des métaux lourds ou même d’autres ingrédients qu’ils ne déclarent pas. Également, plusieurs mélanges sont faits lors de la fabrication des produits à reformuler très difficiles de vérifier si les ingrédients utilisés n’ont pas d’impact sur notre santé. Peut – être que parmi ces ingrédients il y aurait des drogues ou bien des éléments toxiques, qui sait ?
En second lieu, en ce qui concerne la vraie utilité de certains produits amaigrissants, des ingrédients, qui ont été utilisés, sont inscrits sur la bouteille lors de la fabrication de ces produits. Cependant, connaissez – vous leur utilité? Sûrement pas puisque la plupart d’entre eux aident à peine à la perte du poids. En voici quelques exemples. L’éphédrine est une plante éphédra qui est vraiment utilisée pour les décongestifs et les remèdes minimes. Il y a également le zeste d’orange amère. Il est utilisé utilisé dans la marmelade et dans la médecine traditionnelle chinoise pour traiter plusieurs infections telles que la constipation et des douleurs abdominales. Nous nous demandons pourquoi ces produits ne nous donnent pas les résultats voulus.
En troisième lieu, il y a les risques vis – à – vis ces produits amaigrissants. Le bureau de Santé Canada à Ottawa écrit un article avisant les citoyens canadiens de ne pas utiliser certains produits amaigrissants provenant de la Chine. Ils contiennent une substance nommée sibutramine. C’est un médicament d’ordonnance qui doit être pris en présence d’un membre de la santé. Pourtant, la Chine l’utilise pour la perte de poids. Cependant, ce médicament a des effets très négatifs sur votre santé, par exemple, des hémorragies et des douleurs oculaires; et de l’hypertension artérielle. Santé Canada dit même qu’il y a des effets secondaires graves tels que des effets cardiovasculaires et des douleurs à la poitrine. Les gens atteintes d’une maladie du système circulatoire ou d’un problème cardiaque ne devraient pas toucher à cette substance. Si la sibultramine comporte tous ces risques, qui sait ce que les autres substances peuvent nous faire sans que nous le sachions.
En terminant, prendre des produits amaigrissants pour perdre du poids ne fait qu’aggraver votre état de santé d’une manière ou d’une autre. La meilleure manière de perdre du poids est de faire de l’exercice physique au moins quatre fois par semaine, prendre un fruit au lieu d’une friandise comme collation, avoir un minimum de trois groupes d’aliments du guide alimentaire par repas et boire beaucoup d’eau. Vous verrez, vous aurez d’excellents résultats. De toute façon, acheter ces produits est un gaspillage d’argent puisque les résultats sont seulement à court terme; vous le savez très bien !
En premier lieu, il y a la fabrication des produits amaigrissants. Plusieurs compagnies de commerce aiment vendre leurs produits dans Internet et à la télévision. Ce sont les meilleures méthodes pour avoir une bonne clientèle et également les pires endroits où acheter certains produits. Surtout quand cela concerne des médicaments, de la nourriture, des pilules et bien plus encore. Il est conseillé de les acheter au magasin. Pourquoi? Selon la direction des produits de santé commercialisés la plupart des produits vendus sont fabriqués dans des endroits ou l’hygiène est douteuse ou même négligée. Ces pilules peuvent contenir des métaux lourds ou même d’autres ingrédients qu’ils ne déclarent pas. Également, plusieurs mélanges sont faits lors de la fabrication des produits à reformuler très difficiles de vérifier si les ingrédients utilisés n’ont pas d’impact sur notre santé. Peut – être que parmi ces ingrédients il y aurait des drogues ou bien des éléments toxiques, qui sait ?
En second lieu, en ce qui concerne la vraie utilité de certains produits amaigrissants, des ingrédients, qui ont été utilisés, sont inscrits sur la bouteille lors de la fabrication de ces produits. Cependant, connaissez – vous leur utilité? Sûrement pas puisque la plupart d’entre eux aident à peine à la perte du poids. En voici quelques exemples. L’éphédrine est une plante éphédra qui est vraiment utilisée pour les décongestifs et les remèdes minimes. Il y a également le zeste d’orange amère. Il est utilisé utilisé dans la marmelade et dans la médecine traditionnelle chinoise pour traiter plusieurs infections telles que la constipation et des douleurs abdominales. Nous nous demandons pourquoi ces produits ne nous donnent pas les résultats voulus.
En troisième lieu, il y a les risques vis – à – vis ces produits amaigrissants. Le bureau de Santé Canada à Ottawa écrit un article avisant les citoyens canadiens de ne pas utiliser certains produits amaigrissants provenant de la Chine. Ils contiennent une substance nommée sibutramine. C’est un médicament d’ordonnance qui doit être pris en présence d’un membre de la santé. Pourtant, la Chine l’utilise pour la perte de poids. Cependant, ce médicament a des effets très négatifs sur votre santé, par exemple, des hémorragies et des douleurs oculaires; et de l’hypertension artérielle. Santé Canada dit même qu’il y a des effets secondaires graves tels que des effets cardiovasculaires et des douleurs à la poitrine. Les gens atteintes d’une maladie du système circulatoire ou d’un problème cardiaque ne devraient pas toucher à cette substance. Si la sibultramine comporte tous ces risques, qui sait ce que les autres substances peuvent nous faire sans que nous le sachions.
En terminant, prendre des produits amaigrissants pour perdre du poids ne fait qu’aggraver votre état de santé d’une manière ou d’une autre. La meilleure manière de perdre du poids est de faire de l’exercice physique au moins quatre fois par semaine, prendre un fruit au lieu d’une friandise comme collation, avoir un minimum de trois groupes d’aliments du guide alimentaire par repas et boire beaucoup d’eau. Vous verrez, vous aurez d’excellents résultats. De toute façon, acheter ces produits est un gaspillage d’argent puisque les résultats sont seulement à court terme; vous le savez très bien !
La guerre en ondes
Depuis quelques semaines, la «guerre» entre les télévisions généralistes (ex : Radio-Canada, CTV, Global, V, etc.) et les câblodistributeurs (ex : Bell, Rogers, etc.) a escaladé. Les téléspectateurs sont bombardés d’annonces publicitaires telles que «Ma télé locale, j’y tiens» (télévisions généralistes) ou «Non à la taxe TV» (câblodistributeurs). Comme le dit Ian Morrison, du groupe Friends of Canadian Broadcasting «Les personnes ayant vu les annonces publicitaires ne savent pas qui croire.» Cette «taxe» est-elle véritablement nécessaire?
Les télévisons généralistes souhaitent recevoir une compensation des câblodistributeurs qui diffusent leurs signaux. Les câblodistributeurs empochent présentement une somme d’argent chaque mois pour les services des télévisions généralistes. L’industrie du câble et du satellite a généré près de 2 milliards de profit en 2008 (avant intérêts et impôts) alors que le secteur privé de la radiodiffusion généraliste n’a réalisé que des profits de 8 millions cette même année. Même si les câblodistributeurs paient plus de 300 millions de dollars par année au chaînes spécialisées américaines, ils refusent catégoriquement de verser quoi que se soit aux télévisions généralistes canadiennes . S’ils sont obligés de payer, les câblodistributeurs exigeront des frais supplémentaires aux abonnés. Cette somme pourrait aller jusqu’à 10$ par mois , sans compter que les câblodistributeurs refusent d’assurer que la totalité de cette somme irait aux télévisions locales. Sans l’augmentation des frais, les télévisions généralistes se disent incapable de continuer une programmation locale canadienne de qualité.
D’autre part, les câblodistributeurs doivent transmettre les signaux locaux, c’est la loi. Le conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) exige aussi que des stations locales soient inclues dans les services de base. Les émissions locales sont alors diffusées à plus de spectateurs, et ce, avec un format de plus haute qualité grâce aux installations des câblodistributeurs. Il faut souligner que n’importe quel individu peut avoir accès au signal des stations locales avec une télévision munie d’une antenne ou «d’oreilles de lapin». Les chaînes de télévisons locales n’incitent alors pas les téléspectateurs à s’abonner au câble. De plus, Rogers pratique la substitution simultanée, ce qui veut dire que la compagnie remplace les annonces publicitaires américaines par des publicités canadiennes. Pourquoi les câblodistributeurs paieraient-ils les télévisions généralistes s’ils ne tirent profits de leurs émissions? S’ils y sont obligés, les câblodistributeurs augmenteront les tarifs que paient les abonnés.
Afin de perpétuer la télévision canadienne locale, une somme d’argent est nécessaire. Est-ce aux câblodistributeurs de payer? Est-ce juste de refiler cette «taxe» aux consommateurs? C’est aux consommateurs d’agir s’ils ne veulent payer cette taxe. Rendez-vous sur le site web du CRTC (http://www.crtc.gc.ca/) afin d’exprimer votre opinion.
Les télévisons généralistes souhaitent recevoir une compensation des câblodistributeurs qui diffusent leurs signaux. Les câblodistributeurs empochent présentement une somme d’argent chaque mois pour les services des télévisions généralistes. L’industrie du câble et du satellite a généré près de 2 milliards de profit en 2008 (avant intérêts et impôts) alors que le secteur privé de la radiodiffusion généraliste n’a réalisé que des profits de 8 millions cette même année. Même si les câblodistributeurs paient plus de 300 millions de dollars par année au chaînes spécialisées américaines, ils refusent catégoriquement de verser quoi que se soit aux télévisions généralistes canadiennes . S’ils sont obligés de payer, les câblodistributeurs exigeront des frais supplémentaires aux abonnés. Cette somme pourrait aller jusqu’à 10$ par mois , sans compter que les câblodistributeurs refusent d’assurer que la totalité de cette somme irait aux télévisions locales. Sans l’augmentation des frais, les télévisions généralistes se disent incapable de continuer une programmation locale canadienne de qualité.
D’autre part, les câblodistributeurs doivent transmettre les signaux locaux, c’est la loi. Le conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) exige aussi que des stations locales soient inclues dans les services de base. Les émissions locales sont alors diffusées à plus de spectateurs, et ce, avec un format de plus haute qualité grâce aux installations des câblodistributeurs. Il faut souligner que n’importe quel individu peut avoir accès au signal des stations locales avec une télévision munie d’une antenne ou «d’oreilles de lapin». Les chaînes de télévisons locales n’incitent alors pas les téléspectateurs à s’abonner au câble. De plus, Rogers pratique la substitution simultanée, ce qui veut dire que la compagnie remplace les annonces publicitaires américaines par des publicités canadiennes. Pourquoi les câblodistributeurs paieraient-ils les télévisions généralistes s’ils ne tirent profits de leurs émissions? S’ils y sont obligés, les câblodistributeurs augmenteront les tarifs que paient les abonnés.
Afin de perpétuer la télévision canadienne locale, une somme d’argent est nécessaire. Est-ce aux câblodistributeurs de payer? Est-ce juste de refiler cette «taxe» aux consommateurs? C’est aux consommateurs d’agir s’ils ne veulent payer cette taxe. Rendez-vous sur le site web du CRTC (http://www.crtc.gc.ca/) afin d’exprimer votre opinion.
De génération en génération, il y a eu une discussion d’uniformes scolaires dans toutes les écoles secondaires. À mon avis, je ne peux être pour ou contre cette discussion. À l’aide des opinions des jeunes en question, ce texte vous informera des arguments des deux côtés de cette situation.
Tout d’abord, la discrimination dans la majorité des écoles serait plus ou moins abolie lorsque les uniformes seront obligatoires. Les élèves possédant plus d’argent que d’autres, incluant des parents avec plus d’argent, vont acheter des vêtements de marque populaires donc, ils vont croire qu’ils sont supérieurs aux élèves qui n’ont pas les moyens d’acheter des vêtements plus cher que leur budget peut permettre. Cela cause une séparation entres les groupes sociaux dans les écoles et cause également de nombreux conflits d’estime soi envers les élèves moins chanceux. De plus, les adolescents de ce groupe d’âge on déjà une vie assez stressante a l’école avec les pairs qui on tendance à en ajouter soit par la discrimination, le racisme ou en jugeant les autres. Les uniformes scolaire aideraient à diminuer ce stresse inutile.
Par contre, si les élèves seraient pour l’idée des uniformes scolaires, ils perdraient une façon de présenter leur identité, et pour des gens de ce groupe d’âge, cette tâche est déjà difficile. Durant l’adolescence, les vêtements sont une méthode efficace à s’exprimer qui aide ces jeunes à découvrir leur propre identité ainsi qu’à expérimenter avec leurs goûts. Des uniformes scolaires ne permettront plus aux jeunes à s’exprimer de cette façon car ils seront tous obligés à porter la même chose.
Pour conclure, les uniformes scolaire on une bonne chance à diminuer la discrimination des jeunes adolescents car ils vont tous porter le même habit mais en même temps cela pourrait causer des problèmes envers les jeunes qui veulent trouver leur vrai identité. Cet a dire si qu’on décide d’emporter les uniformes scolaires dans les écoles, il faut très bien écouter a ce que les élèves on a débattre avant de faire une décision finale.
Tout d’abord, la discrimination dans la majorité des écoles serait plus ou moins abolie lorsque les uniformes seront obligatoires. Les élèves possédant plus d’argent que d’autres, incluant des parents avec plus d’argent, vont acheter des vêtements de marque populaires donc, ils vont croire qu’ils sont supérieurs aux élèves qui n’ont pas les moyens d’acheter des vêtements plus cher que leur budget peut permettre. Cela cause une séparation entres les groupes sociaux dans les écoles et cause également de nombreux conflits d’estime soi envers les élèves moins chanceux. De plus, les adolescents de ce groupe d’âge on déjà une vie assez stressante a l’école avec les pairs qui on tendance à en ajouter soit par la discrimination, le racisme ou en jugeant les autres. Les uniformes scolaire aideraient à diminuer ce stresse inutile.
Par contre, si les élèves seraient pour l’idée des uniformes scolaires, ils perdraient une façon de présenter leur identité, et pour des gens de ce groupe d’âge, cette tâche est déjà difficile. Durant l’adolescence, les vêtements sont une méthode efficace à s’exprimer qui aide ces jeunes à découvrir leur propre identité ainsi qu’à expérimenter avec leurs goûts. Des uniformes scolaires ne permettront plus aux jeunes à s’exprimer de cette façon car ils seront tous obligés à porter la même chose.
Pour conclure, les uniformes scolaire on une bonne chance à diminuer la discrimination des jeunes adolescents car ils vont tous porter le même habit mais en même temps cela pourrait causer des problèmes envers les jeunes qui veulent trouver leur vrai identité. Cet a dire si qu’on décide d’emporter les uniformes scolaires dans les écoles, il faut très bien écouter a ce que les élèves on a débattre avant de faire une décision finale.
L’importance de la vie urbaine au Nouveau-Brunswick
Les avantages de la vie urbaine au Nouveau-Brunswick sont beaucoup plus nombreux que ceux de la vie rurale. En ville, il y a plus d’écoles, plus d’étudiants et amplement plus de choix de cours. Les activités dans un milieu urbain sont suffisamment plus diversifiées qu’à la vie rurale. Exemple, à Fredericton il y a plus de services de santé, de travail et la ville est plus diversifiées.
Premièrement, la population d’un petit village est plus petite que celle d’une ville comme Moncton. Cela crée des défis pour les programmes scolaires. Une école rurale reçoit des élèves de la maternelle à la 12ème année, tandis qu’une école urbaine reçoit des élèves de la 9ème année à la 12ème année. Il y a seulement une douzaine d’élèves par niveau dans un milieu rural et il n’y a pas énormément de choix de matières. Les élèves font un examen pour toute la matière tandis qu’une établissement scolaire en ville a un examen pour chaque cours en plus d’avoir des centaines d’élèves par niveau.
Deuxièmement, les villages de à la campagne n’ooffrent pas beaucoup d’activités pour les enfants, les adolescents et les adultes. Il n’y a pas de théâtre, de patinoire, de centre commercial ou même un centre pour jouer aux quilles. Il y a seulement un terrain de ballon-panier et un petit parc pour les enfants. En ville, il est plein d’activités. Par exemple, il y a du patin à la glace, de la natation à la piscine, des galeries d’art, un centre commercial et beaucoup d’autres choses.
Troisièmement, il n’y a pas beaucoup de travail dans un milieu rural et il n’y a pas d’hôpital ou de supermarché. Les gens vont en ville pour travailler et cela leur prend entre vingt et quarante minutes de route de leur maison. Il ya seulement un petit centre commercial et quelques dépanneurs. La ville a amplement d’hôpitaux, de supermarchés, de centres médicaux et de dépanneurs. Le Nouveau-Brunswick emploi plus de 365 milliers de gens, dont la plupart dans les endroits urbains, et l’an dernier plus de milles emploi ont été créés dans les villes. Une vie urbaine offre plus d’emplois, par exemple dans un centre commercial, à l’hôpital, dans les entreprises, les restaurants et avec la police.
Pour conclure, la vie urbaine est très importante. Elle offre une meilleure éducation, plus d’activités pour tous les gens, plus de travail et un emploi qui est proche de la maison. C’est une mode de vie plus agréable.
Premièrement, la population d’un petit village est plus petite que celle d’une ville comme Moncton. Cela crée des défis pour les programmes scolaires. Une école rurale reçoit des élèves de la maternelle à la 12ème année, tandis qu’une école urbaine reçoit des élèves de la 9ème année à la 12ème année. Il y a seulement une douzaine d’élèves par niveau dans un milieu rural et il n’y a pas énormément de choix de matières. Les élèves font un examen pour toute la matière tandis qu’une établissement scolaire en ville a un examen pour chaque cours en plus d’avoir des centaines d’élèves par niveau.
Deuxièmement, les villages de à la campagne n’ooffrent pas beaucoup d’activités pour les enfants, les adolescents et les adultes. Il n’y a pas de théâtre, de patinoire, de centre commercial ou même un centre pour jouer aux quilles. Il y a seulement un terrain de ballon-panier et un petit parc pour les enfants. En ville, il est plein d’activités. Par exemple, il y a du patin à la glace, de la natation à la piscine, des galeries d’art, un centre commercial et beaucoup d’autres choses.
Troisièmement, il n’y a pas beaucoup de travail dans un milieu rural et il n’y a pas d’hôpital ou de supermarché. Les gens vont en ville pour travailler et cela leur prend entre vingt et quarante minutes de route de leur maison. Il ya seulement un petit centre commercial et quelques dépanneurs. La ville a amplement d’hôpitaux, de supermarchés, de centres médicaux et de dépanneurs. Le Nouveau-Brunswick emploi plus de 365 milliers de gens, dont la plupart dans les endroits urbains, et l’an dernier plus de milles emploi ont été créés dans les villes. Une vie urbaine offre plus d’emplois, par exemple dans un centre commercial, à l’hôpital, dans les entreprises, les restaurants et avec la police.
Pour conclure, la vie urbaine est très importante. Elle offre une meilleure éducation, plus d’activités pour tous les gens, plus de travail et un emploi qui est proche de la maison. C’est une mode de vie plus agréable.
Moncton, une communauté fière d’être française?
Le 6 août 2002 a été une journée de fierté pour les francophones de Moncton, la première ville officiellement bilingue au Canada. Sept ans plus tard, la langue française est en train de disparaitre dans cette ville. La ville voisine de Moncton, soit Dieppe, ou 80% des gens se considèrent francophones, est actuellement en train de se faire influencer par leur voisin. Généralement, les entreprises de ces communautés devraient présenter leurs affiches publicitaires autant en français qu’en anglais. Une étude du Conseil pour l’aménagement du français au N-B nous démontre que les affiches commerciales de Dieppe et Moncton sont présentement loin de respecter leur classe respective, soit une ville francophone et une ville bilingue.
Pour débuter, l’étude sur la langue des affiches commerciales a été recensée sur quatre chemins principaux, soit la rue Main, la rue Saint-George et le chemin Mountain, qui sont tous à Moncton et la rue Champlain, qui est à Dieppe, pour un total de 399 entreprises. Les données nous démontrent que seulement 40% des affiches de la rue Champlain sont bilingues. De plus, seulement 13% à 20% des affiches ciblées à Moncton sont bilingues. Moncton et Dieppe, qui sont deux villes qui évoluent très rapidement présentement, attirent beaucoup de touristes francophones qui arrivent soit du Québec ou même du Nord du N-B. À cette heure, les affiches commerciales presque seulement en anglais laissent une mauvaise impression de Moncton et Dieppe. En même temps, ces villes ne respectent pas leurs touristes francophones, qui pensent venir à une ville autant française qu’anglaise, quand plus de 80% des entreprises à Moncton offrent seulement des services en anglais.
Ensuite, la Charte des droits nous indique que « Le français et l’anglais sont les langues officielles du Nouveau-Brunswick, également elles ont un statut et des droits et privilèges égaux » En d’autre mots, cela veut dire que Moncton et Dieppe doivent respecter les droits et privilèges des citoyens français, ce qui veut dire que les entreprises devraient présenter leurs affiches publicitaires dans les deux langues officielles.
Pour conclure, ne serait-il pas normal que les entreprises de la seule ville au Canada officiellement bilingue affichent leurs commerces dans les deux langues officielles ? Si nous voulons un changement, nous devons agir maintenant.
Pour débuter, l’étude sur la langue des affiches commerciales a été recensée sur quatre chemins principaux, soit la rue Main, la rue Saint-George et le chemin Mountain, qui sont tous à Moncton et la rue Champlain, qui est à Dieppe, pour un total de 399 entreprises. Les données nous démontrent que seulement 40% des affiches de la rue Champlain sont bilingues. De plus, seulement 13% à 20% des affiches ciblées à Moncton sont bilingues. Moncton et Dieppe, qui sont deux villes qui évoluent très rapidement présentement, attirent beaucoup de touristes francophones qui arrivent soit du Québec ou même du Nord du N-B. À cette heure, les affiches commerciales presque seulement en anglais laissent une mauvaise impression de Moncton et Dieppe. En même temps, ces villes ne respectent pas leurs touristes francophones, qui pensent venir à une ville autant française qu’anglaise, quand plus de 80% des entreprises à Moncton offrent seulement des services en anglais.
Ensuite, la Charte des droits nous indique que « Le français et l’anglais sont les langues officielles du Nouveau-Brunswick, également elles ont un statut et des droits et privilèges égaux » En d’autre mots, cela veut dire que Moncton et Dieppe doivent respecter les droits et privilèges des citoyens français, ce qui veut dire que les entreprises devraient présenter leurs affiches publicitaires dans les deux langues officielles.
Pour conclure, ne serait-il pas normal que les entreprises de la seule ville au Canada officiellement bilingue affichent leurs commerces dans les deux langues officielles ? Si nous voulons un changement, nous devons agir maintenant.
L’art sur le corps
Les tatouages et les perçages corporels sont-ils de l’art ou de la saleté? C’est réellement l’art sur le corps et cela devient de plus en plus populaire. Plusieurs jeunes ont peur des risques par rapport aux tatouages et aux perçages corporels, mais il faut simplement faire une petite recherche pour réduire ces risques.
Premièrement, les tatouages et les perçages corporels deviennent de plus en plus populaires ces jours et les jeunes disent qu’un tatouage c’est un élément symbolique et personnel avec lequel on ne nait pas, mais avec lequel on meurt. Cette popularité touche particulièrement les gens âgés de dix-huit à vingt-deux ans. Un sondage démontre que quatre-vingt-treize pour cent des femmes aux États-Unis ont les oreilles percées et le nombre de femmes qui ont des tatouages a quadruplé entre les années 1960 et 1980. Aussi, le nombre de boutiques spécialisées pour les tatouages et les perçages corporels ont augmenté au Canada. En 2001, un sondage mené par une université américaine démontre que cinquante et un pour cent des étudiants ont des perçages corporels et vingt-trois pour cent ont des tatouages corporels.
Par contre, il existe un certain nombre d’infections et de risques comme l’hépatite B, l’hépatite C, VIH, le SIDA et l’herpès par rapport au tatouage et au perçage corporel. Ces risques sont très faciles à d’éviter et ne doivent pas faire peur aux jeunes. Pour réduire les risques, on choisit une boutique spécialisée avec un aire de travail propre, éclairé et hygiénique. Un studio ou les instruments sont couverts d’un plastique jetable et les aiguilles utilisées sont nouvelles ou bien stériles. Une boutique ou les praticiens, qui ont suivi une formation, lavent leurs mains régulièrement et utilisent des gants médicaux. Il y a aussi un guide de prévention des infections par rapport au tatouage et au perçage corporel publié par Santé Canada.
En conclusion, avant de faire un tatouage ou un perçage corporel, demandé quelles sont leurs procédures et n’oubliez pas de choisir soigneusement le studio spécialisé. Avec ces simples instructions, l’art sur votre corps sera fantastique.
Premièrement, les tatouages et les perçages corporels deviennent de plus en plus populaires ces jours et les jeunes disent qu’un tatouage c’est un élément symbolique et personnel avec lequel on ne nait pas, mais avec lequel on meurt. Cette popularité touche particulièrement les gens âgés de dix-huit à vingt-deux ans. Un sondage démontre que quatre-vingt-treize pour cent des femmes aux États-Unis ont les oreilles percées et le nombre de femmes qui ont des tatouages a quadruplé entre les années 1960 et 1980. Aussi, le nombre de boutiques spécialisées pour les tatouages et les perçages corporels ont augmenté au Canada. En 2001, un sondage mené par une université américaine démontre que cinquante et un pour cent des étudiants ont des perçages corporels et vingt-trois pour cent ont des tatouages corporels.
Par contre, il existe un certain nombre d’infections et de risques comme l’hépatite B, l’hépatite C, VIH, le SIDA et l’herpès par rapport au tatouage et au perçage corporel. Ces risques sont très faciles à d’éviter et ne doivent pas faire peur aux jeunes. Pour réduire les risques, on choisit une boutique spécialisée avec un aire de travail propre, éclairé et hygiénique. Un studio ou les instruments sont couverts d’un plastique jetable et les aiguilles utilisées sont nouvelles ou bien stériles. Une boutique ou les praticiens, qui ont suivi une formation, lavent leurs mains régulièrement et utilisent des gants médicaux. Il y a aussi un guide de prévention des infections par rapport au tatouage et au perçage corporel publié par Santé Canada.
En conclusion, avant de faire un tatouage ou un perçage corporel, demandé quelles sont leurs procédures et n’oubliez pas de choisir soigneusement le studio spécialisé. Avec ces simples instructions, l’art sur votre corps sera fantastique.
Un salaire justifié
Partout dans le monde, des athlètes professionnels se font payé un salaire dont plusieurs personnes jugent trop élevé. Mais ce qu’elles oublient, c’est tout simplement le principe d’économie, l’offre et la demande. C’est la raison pour laquelle le montant que reçoivent ces athlètes est tout à fait justifié.
En premier lieu, les partisans veulent voir les athlètes professionnels en action. Dans la plupart des cas, la population de consommateurs se plaint que les billets vendus sont trop coûteux. Ce qui reste à déterminer, c’est que tous les billets se font vendre alors pourquoi se plaindre s’ils vont continuellement en acheter ? Pourquoi les propriétaires diminueraient-ils leurs prix d’entrée s’ils n’ont aucun ennui d’une faillite ? Prenons l’exemple suivant : à Montréal, un billet coûte environ 200$. Multiplions ce montant par le nombre de places que peu contenir le Centre Bell, soit 21 273, et nous obtenons plus de 4 millions de dollars par partie. Dans une saison de hockey, il y a 82 parties, alors 41 parties à domicile. En gros, ils accumulent
à peu près 175 millions de dollars annuellement. Avec ce revenu, c’est alors que l’on voit des commanditaires appuyer des athlètes, ces derniers sont rémunérés davantage.
De plus, il y a des millions de jeunes qui pratiquent un sport, et seuls quelques dizaines ou centaines vont réussir à le pratiquer de manière professionnelle. Ceci exige des années d´entraînements et des sacrifices sans avoir aucune assurance de percer sur le marché du travail. Certains jeunes seront motivés plus que d’autres, ce qui déterminera leur futur. Pendant que des sportifs font des millions, les entreprises qui signent des contrats avec eux font des milliards, ceci en vendant leurs image et leurs aptitudes. Un peu comme un artiste, il est normal que la personne de qui vend son image reçoive un pourcentage de tout ce profit.
En fin de compte, il est évident et même raisonnable de comprendre pourquoi ils reçoivent un si grand montant. Le support qu’accordent les
partisans aux propriétaires et aux commanditaires, tombe directement dans la poche des joueurs. Avec tous ces faits et preuves, ceux qui se plaignent devront se contenter de continuer à regarder leur équipe préférée.
En premier lieu, les partisans veulent voir les athlètes professionnels en action. Dans la plupart des cas, la population de consommateurs se plaint que les billets vendus sont trop coûteux. Ce qui reste à déterminer, c’est que tous les billets se font vendre alors pourquoi se plaindre s’ils vont continuellement en acheter ? Pourquoi les propriétaires diminueraient-ils leurs prix d’entrée s’ils n’ont aucun ennui d’une faillite ? Prenons l’exemple suivant : à Montréal, un billet coûte environ 200$. Multiplions ce montant par le nombre de places que peu contenir le Centre Bell, soit 21 273, et nous obtenons plus de 4 millions de dollars par partie. Dans une saison de hockey, il y a 82 parties, alors 41 parties à domicile. En gros, ils accumulent
à peu près 175 millions de dollars annuellement. Avec ce revenu, c’est alors que l’on voit des commanditaires appuyer des athlètes, ces derniers sont rémunérés davantage.
De plus, il y a des millions de jeunes qui pratiquent un sport, et seuls quelques dizaines ou centaines vont réussir à le pratiquer de manière professionnelle. Ceci exige des années d´entraînements et des sacrifices sans avoir aucune assurance de percer sur le marché du travail. Certains jeunes seront motivés plus que d’autres, ce qui déterminera leur futur. Pendant que des sportifs font des millions, les entreprises qui signent des contrats avec eux font des milliards, ceci en vendant leurs image et leurs aptitudes. Un peu comme un artiste, il est normal que la personne de qui vend son image reçoive un pourcentage de tout ce profit.
En fin de compte, il est évident et même raisonnable de comprendre pourquoi ils reçoivent un si grand montant. Le support qu’accordent les
partisans aux propriétaires et aux commanditaires, tombe directement dans la poche des joueurs. Avec tous ces faits et preuves, ceux qui se plaignent devront se contenter de continuer à regarder leur équipe préférée.
Abandonner ou aimer?
Certains couples ne veulent pas d’enfants ou veulent seulement adopter un enfant. Est-ce que ces couples devraient être perçus comme étant égoïstes? Plusieurs gens ne pensent pas que ces couples devraient se sentir comme une minorité dans notre communauté. Il y a beaucoup de raisons positives pour adopter un enfant, mais il y a aussi de très bonnes raisons pour ne pas en avoir d’enfant. Comme des raisons médicales ou des choix de carrière ce qui fais que les gens qui choisissent d’adopter ne devraient pas être mis de coté.
Il est vrai que beaucoup de jeunes Canadiens ne veulent pas d’enfants. Il y a diverses raisons : de plus longues études postsecondaires et une plus longue vie sur le marché du travail sans compter que la majorité des femmes désirent avoir une carrière. C’est surtout parce que les filles travaillent ou poursuivant leurs études; elles ne dépendent plus d’un homme pour survivre. Il y a aussi des couples qui ne peuvent pas produire d’enfants parce qu’ils ont des problèmes médicaux. Quand cela arrive, ils doivent prendre la décision de soit adopter des enfants ou de ne pas avoir d’enfant du tout. Une grande majorité des jeunes Canadiens, âgés de 20 à 34 ans, veulent au moins un enfant. Il y a quand même 7% de ces jeunes adultes qui ne veulent pas d’enfants, et ce taux augmente chaque année.
De plus, il est évident qu’il y a beaucoup de personnes qui adoptent des enfants. En 2008, 46% des enfants adoptés avaient moins de douze mois. Les couples qui adoptent des enfants ne doivent pas oublier les enfants plus âgés aussi. Le taux d’adoption diminue chaque année; par exemple en 2003, il y a eu 464 adoptions au Québec, et en 2008, il y a seulement eu 127 adoptions. Donc, pendant les cinq dernières années il y a eu une chute de 337 adoptions au Québec. Alors, il y a 337 enfants qui vivent en maison d’accueil ou sur les rues, qui n’ont pas de famille et qui sont plus ou moins entourés pas la haine.
En conclusion, les couples qui veulent adopter des enfants sont très généreux. Pourquoi amener un autre enfant dans le monde, qu’on ne connait pas, quand il y a des centaines d’enfants et d’adolescents qui vivent dans l’abandon chaque jour de leur vie? On ne devrait pas juger les gens qui adoptent puisqu’ils ne font que donner une famille aux enfants qui n’en ont pas, et il n’y a rien de mal à cela.
Il est vrai que beaucoup de jeunes Canadiens ne veulent pas d’enfants. Il y a diverses raisons : de plus longues études postsecondaires et une plus longue vie sur le marché du travail sans compter que la majorité des femmes désirent avoir une carrière. C’est surtout parce que les filles travaillent ou poursuivant leurs études; elles ne dépendent plus d’un homme pour survivre. Il y a aussi des couples qui ne peuvent pas produire d’enfants parce qu’ils ont des problèmes médicaux. Quand cela arrive, ils doivent prendre la décision de soit adopter des enfants ou de ne pas avoir d’enfant du tout. Une grande majorité des jeunes Canadiens, âgés de 20 à 34 ans, veulent au moins un enfant. Il y a quand même 7% de ces jeunes adultes qui ne veulent pas d’enfants, et ce taux augmente chaque année.
De plus, il est évident qu’il y a beaucoup de personnes qui adoptent des enfants. En 2008, 46% des enfants adoptés avaient moins de douze mois. Les couples qui adoptent des enfants ne doivent pas oublier les enfants plus âgés aussi. Le taux d’adoption diminue chaque année; par exemple en 2003, il y a eu 464 adoptions au Québec, et en 2008, il y a seulement eu 127 adoptions. Donc, pendant les cinq dernières années il y a eu une chute de 337 adoptions au Québec. Alors, il y a 337 enfants qui vivent en maison d’accueil ou sur les rues, qui n’ont pas de famille et qui sont plus ou moins entourés pas la haine.
En conclusion, les couples qui veulent adopter des enfants sont très généreux. Pourquoi amener un autre enfant dans le monde, qu’on ne connait pas, quand il y a des centaines d’enfants et d’adolescents qui vivent dans l’abandon chaque jour de leur vie? On ne devrait pas juger les gens qui adoptent puisqu’ils ne font que donner une famille aux enfants qui n’en ont pas, et il n’y a rien de mal à cela.
Être végétarien, mais pourquoi?
Dans chaque coin du monde ce choix altruiste gagne en popularité. De ce, la question « piquante » y provient : Est-ce vraiment sain d’être végétarien ? Bien sûr ! D’un point de vue « santé », écologique et même éthique, il n’y a que des aspects favorisants ce choix qui ne cesse de donner.
La viande et notre planète.
Notre sublime et splendide planète est mise en danger chaque jour par l’industrie monstrueusement cruelle de la viande. Chaque livre de viande produite émet la même quantité de gaz à effet de serre (G.E.S.) qu’un V.U.S. conduit pendant plus de soixante-quatre kilomètres! En plus de ces atrocités dégoutantes, l’industrie animale entraine quarante pour cent plus de GES que tous les moyens de transport au monde rassemblés. De plus, la E.P.A. (environmental protection agency) nous fait part que ce commerce désastreux serait responsable pour plus de pollution dans nos eaux que toutes les autres sources d’industries mondiales combinées. En bref, cette exploitation remplie d’injustice ne fait que commencer à vous pétrifiez, c’est pourquoi cette simple et saine diète est une source d’inspiration monumentale.
Un choix, une vie.
Prendre soin de sa santé est si complexe, mais si élémentaire puisqu’il y a d’autre options comme faire partie de ce groupe instruit. Dans ces jours problématiques, plus de 20 000 différentes sortes de drogues, incluant des antibiotiques et des hormones de croissance sont forcées aux bétails qui ne font que souffrir d’horreurs macabres. Ces drogues, se rendent en quantité surprenante dans chaque morceau de viande commercial ce qui nuit à notre bien être. En plus de cela, la correspondance entre la viande et une immense panoplie de maladies, comme l’ostéoporose, le diabète, l’arthrite, l’obésité et même certains cancers (en passant, la liste ne fait que commencer), est documentée à perfection. Pour cela, ainsi qu’une panoplie d’autres principes, être végétarien ne fait que preuve d’humanisme et d’extrême sapience.
Nous…herbivore?
Dans le même ordre d’idée, l’être humain n’est pas conçu pour dévorer d’autres animaux, puisque notre corps entier est celui d’un herbivore. En plus, le ridicule devient encore plus incompréhensible lorsque nous découvrons que les procédés sont sanglants, ignobles, injustes et odieux que ce qui était une fois des créatures inoffensives font pour se rendre à nos assiettes pour satisfaire nos papilles gustatives peu importantes.
En bref, que ce soit pour l’amour des animaux, l’amour de soi ou l’amour de la Terre entière ce n’est qu’admirable et respectueux de prendre place dans cette communauté humaniste. En fin de compte, c’est un choix qui prouve être radicalement positif sur plusieurs aspects de la vie, c’est une option qui semble être évidente.
La viande et notre planète.
Notre sublime et splendide planète est mise en danger chaque jour par l’industrie monstrueusement cruelle de la viande. Chaque livre de viande produite émet la même quantité de gaz à effet de serre (G.E.S.) qu’un V.U.S. conduit pendant plus de soixante-quatre kilomètres! En plus de ces atrocités dégoutantes, l’industrie animale entraine quarante pour cent plus de GES que tous les moyens de transport au monde rassemblés. De plus, la E.P.A. (environmental protection agency) nous fait part que ce commerce désastreux serait responsable pour plus de pollution dans nos eaux que toutes les autres sources d’industries mondiales combinées. En bref, cette exploitation remplie d’injustice ne fait que commencer à vous pétrifiez, c’est pourquoi cette simple et saine diète est une source d’inspiration monumentale.
Un choix, une vie.
Prendre soin de sa santé est si complexe, mais si élémentaire puisqu’il y a d’autre options comme faire partie de ce groupe instruit. Dans ces jours problématiques, plus de 20 000 différentes sortes de drogues, incluant des antibiotiques et des hormones de croissance sont forcées aux bétails qui ne font que souffrir d’horreurs macabres. Ces drogues, se rendent en quantité surprenante dans chaque morceau de viande commercial ce qui nuit à notre bien être. En plus de cela, la correspondance entre la viande et une immense panoplie de maladies, comme l’ostéoporose, le diabète, l’arthrite, l’obésité et même certains cancers (en passant, la liste ne fait que commencer), est documentée à perfection. Pour cela, ainsi qu’une panoplie d’autres principes, être végétarien ne fait que preuve d’humanisme et d’extrême sapience.
Nous…herbivore?
Dans le même ordre d’idée, l’être humain n’est pas conçu pour dévorer d’autres animaux, puisque notre corps entier est celui d’un herbivore. En plus, le ridicule devient encore plus incompréhensible lorsque nous découvrons que les procédés sont sanglants, ignobles, injustes et odieux que ce qui était une fois des créatures inoffensives font pour se rendre à nos assiettes pour satisfaire nos papilles gustatives peu importantes.
En bref, que ce soit pour l’amour des animaux, l’amour de soi ou l’amour de la Terre entière ce n’est qu’admirable et respectueux de prendre place dans cette communauté humaniste. En fin de compte, c’est un choix qui prouve être radicalement positif sur plusieurs aspects de la vie, c’est une option qui semble être évidente.
Des jeux avantageux ou désavantageux?
Au Nouveau- Brunswick, les petits comme les grands passent leur temps libre devant un écran à jouer dans un monde irréel et fictif, mais est-ce que ces jeux peuvent faire un changement au niveau de la vie quotidienne et un changement de comportement? Bien sûr! L’abus des jeux vidéo peut causer l’obésité ainsi que des comportements violents. Comment cela est-il possible?
Premièrement, il y a toutes sortes de formes de jeux vidéo, de guerres, de science- fiction, d’arcades, etc. Parmi ces jeux vidéo, les jeunes préfèrent les jeux de guerres et d’arcades. Lorsque les jeunes ou n’importe qui est sans cesse en train de jouer à des jeux vidéo violents, ils se mettent dans la peau des personnages, ils veulent tellement gagner, atteindre leur but, qui est de tuer le plus grand nombre de personnes possible, qu’ils deviennent hors d’eux- mêmes. Ils aiment tuer, aiment le sang, aiment torturer. Ils développent en eux une rage et ce sentiment de vouloir tuer. Comme le dit clairement Adrien, un jeune adolescent, il annonce à son père qu’il a tué aujourd’hui 45 personnes. Il révèle ensuite ceci : « Ce que je préfère, ce sont les jeux de stratégies, où il faut conquérir des mondes. Mais j’aime aussi tuer dans tous les coins, être plus rapide que l’ennemi. »Adrien n’est pas le seul à penser de cette façon. Lorsqu’il arrive un événement quelconque, que ces personnes qui jouent à ces jeux vidéo se retrouvent avec quelqu’un qu’ils haïssent au point de les tuer, ils vont revivre le même sentiment de vouloir tuer et de vaincre l’ennemie. C’est ainsi que se produit l’agressivité et la violence chez ceux qui jouent aux jeux vidéo violents comme ‘‘ World of Warcraft”, ‘‘Half-Life’’, ‘‘Age of Empires’’, ‘‘Call of Duty Modern Warfare 2’’, etc.
De plus, l’obésité est de plus en plus présente chez les gens plus que jamais. Il est vrai que la gourmandise et la mauvaise nutrition influencent l’obésité, mais il y a aussi d’autres facteurs, comme le manque d’activités et le manque de conditionnement physique. Ceci est le cas surtout chez les enfants. Pourquoi? Parce qu’ils préfèrent pitonner sur des manettes que de jouer et de se dégourdir dehors. Statistique Canada révèle ceci : « Chez les enfants de 6 à 11 ans et les adolescents de 12 à 17 ans, la probabilité de faire de l'embonpoint ou d'être obèse a tendance à augmenter parallèlement au temps passé à regarder la télévision, à jouer à des jeux vidéo ou à utiliser un ordinateur.» Selon les statistiques, 99% des jeunes entre 12 et 17 ans jouent aux jeux vidéo, dont 83% jouent une fois par semaine et que 42% y jouent tous les jours, ce qui explique exactement pourquoi le taux d’obésité est tellement élevé.
Pour conclure, les jeux vidéo, influencent la façon de penser et d’agir des jeunes comme celle les adultes. Ils sont un facteur important pour la violence chez les jeunes ainsi que l’augmentation du taux d’obésité. Parents, c’est vous qui devez élever vos enfants, mais faites le correctement dans un environnement qui les aidera à progresser.
Premièrement, il y a toutes sortes de formes de jeux vidéo, de guerres, de science- fiction, d’arcades, etc. Parmi ces jeux vidéo, les jeunes préfèrent les jeux de guerres et d’arcades. Lorsque les jeunes ou n’importe qui est sans cesse en train de jouer à des jeux vidéo violents, ils se mettent dans la peau des personnages, ils veulent tellement gagner, atteindre leur but, qui est de tuer le plus grand nombre de personnes possible, qu’ils deviennent hors d’eux- mêmes. Ils aiment tuer, aiment le sang, aiment torturer. Ils développent en eux une rage et ce sentiment de vouloir tuer. Comme le dit clairement Adrien, un jeune adolescent, il annonce à son père qu’il a tué aujourd’hui 45 personnes. Il révèle ensuite ceci : « Ce que je préfère, ce sont les jeux de stratégies, où il faut conquérir des mondes. Mais j’aime aussi tuer dans tous les coins, être plus rapide que l’ennemi. »Adrien n’est pas le seul à penser de cette façon. Lorsqu’il arrive un événement quelconque, que ces personnes qui jouent à ces jeux vidéo se retrouvent avec quelqu’un qu’ils haïssent au point de les tuer, ils vont revivre le même sentiment de vouloir tuer et de vaincre l’ennemie. C’est ainsi que se produit l’agressivité et la violence chez ceux qui jouent aux jeux vidéo violents comme ‘‘ World of Warcraft”, ‘‘Half-Life’’, ‘‘Age of Empires’’, ‘‘Call of Duty Modern Warfare 2’’, etc.
De plus, l’obésité est de plus en plus présente chez les gens plus que jamais. Il est vrai que la gourmandise et la mauvaise nutrition influencent l’obésité, mais il y a aussi d’autres facteurs, comme le manque d’activités et le manque de conditionnement physique. Ceci est le cas surtout chez les enfants. Pourquoi? Parce qu’ils préfèrent pitonner sur des manettes que de jouer et de se dégourdir dehors. Statistique Canada révèle ceci : « Chez les enfants de 6 à 11 ans et les adolescents de 12 à 17 ans, la probabilité de faire de l'embonpoint ou d'être obèse a tendance à augmenter parallèlement au temps passé à regarder la télévision, à jouer à des jeux vidéo ou à utiliser un ordinateur.» Selon les statistiques, 99% des jeunes entre 12 et 17 ans jouent aux jeux vidéo, dont 83% jouent une fois par semaine et que 42% y jouent tous les jours, ce qui explique exactement pourquoi le taux d’obésité est tellement élevé.
Pour conclure, les jeux vidéo, influencent la façon de penser et d’agir des jeunes comme celle les adultes. Ils sont un facteur important pour la violence chez les jeunes ainsi que l’augmentation du taux d’obésité. Parents, c’est vous qui devez élever vos enfants, mais faites le correctement dans un environnement qui les aidera à progresser.
Les OGM n’ont aucune importance
Les chers OGM, ils sont très nombreux, voire populaire. Mais populaires pour des mauvaises raisons. Les OGM ou organismes génétiquement modifiés sont très utiles selon plusieurs compagnies et enrichissent leurs produits. Mais la réalité est que les OGM sont malsains et immoraux.
Premièrement, les OGM sont mauvais pour la santé. Il y a certaines plantes OGM qui contribuent à l’affaiblissement des antibiotiques. Le gène qui cause ceci est nécessaire pour la fabrication, mais devient inutile à la plante par la suite. Une fois que ce gène passe dans notre système digestif, les antibiotiques qui ont été consommés ne servent à rien et causent des problèmes de santé. Puisque les OGM sont tellement nombreux, par exemple, 80% des animaux d’élevage consomment des OGM, il est devenu très difficile de les éviter et cela peut devenir très problématique pour un grand nombre de gens. Également, les OGM peuvent augmenter les risques d’allergies alimentaires car les allergies sont causées par des gènes particuliers et ajouter des OGM, c’est ajouter des gènes.
Ensuite, les OGM sont immoraux. Ils sont presque comme des espèces inventées. Par exemple, prendre un gène de poisson et le mettre dans une fraise pour la rendre résistante au gel. Ceci est malsin! Cela menace la biodiversité. De plus, pour les consommateurs qui sont contre les OGM, cela peut être très difficile d’acheter des produits biologiques puisque l’étiquetage est insuffisant. Si le produit contient moins de 0,9% d’OGM, l’étiquetage ne l’indique pas. Donc des consommateurs vont croire qu’ils mangent de la nourriture complètement saine quand réellement ils sont mal informés. Cela n’est pas correct.
Pour conclure, les OGM peuvent potentiellement causer plusieurs problèmes de santé pour beaucoup de gens et vont contre les valeurs d’un grand nombre de personnes. Ils ne sont pas nécessaires. Par exemple, 99% des céréales avec OGM ne sont pas meilleure que des céréales sans OGM. Donc, pourquoi encore les utiliser? Voilà une question avec aucune réponse.
Premièrement, les OGM sont mauvais pour la santé. Il y a certaines plantes OGM qui contribuent à l’affaiblissement des antibiotiques. Le gène qui cause ceci est nécessaire pour la fabrication, mais devient inutile à la plante par la suite. Une fois que ce gène passe dans notre système digestif, les antibiotiques qui ont été consommés ne servent à rien et causent des problèmes de santé. Puisque les OGM sont tellement nombreux, par exemple, 80% des animaux d’élevage consomment des OGM, il est devenu très difficile de les éviter et cela peut devenir très problématique pour un grand nombre de gens. Également, les OGM peuvent augmenter les risques d’allergies alimentaires car les allergies sont causées par des gènes particuliers et ajouter des OGM, c’est ajouter des gènes.
Ensuite, les OGM sont immoraux. Ils sont presque comme des espèces inventées. Par exemple, prendre un gène de poisson et le mettre dans une fraise pour la rendre résistante au gel. Ceci est malsin! Cela menace la biodiversité. De plus, pour les consommateurs qui sont contre les OGM, cela peut être très difficile d’acheter des produits biologiques puisque l’étiquetage est insuffisant. Si le produit contient moins de 0,9% d’OGM, l’étiquetage ne l’indique pas. Donc des consommateurs vont croire qu’ils mangent de la nourriture complètement saine quand réellement ils sont mal informés. Cela n’est pas correct.
Pour conclure, les OGM peuvent potentiellement causer plusieurs problèmes de santé pour beaucoup de gens et vont contre les valeurs d’un grand nombre de personnes. Ils ne sont pas nécessaires. Par exemple, 99% des céréales avec OGM ne sont pas meilleure que des céréales sans OGM. Donc, pourquoi encore les utiliser? Voilà une question avec aucune réponse.
Vaccin ou pandémique?
Depuis le mois de mars cette année, les gens ont tous peurs et ils paniquent parce qu’il y a eu une nouvelle apparition d’une pandémique sur notre planète Terre. Vous savez surement que c’est la pandémique H1N1 dont je parle! Les scientifiques ont alors crée un vaccin pour sauver les gens de cette pandémique, mais la plupart des gens étaient indécis de la prendre ou non. C’est sûr que les scientifiques ne donneraient pas un vaccin à des gens qui ne sont pas sécuritaire, de plus, la grippe elle-même est beaucoup plus dangereuse que les effets secondaires du vaccin.
Pour commencer, ce qui est dans les vaccins sont des virus ou des bactéries, qui peuvent être mortes ou en vie. En entrant dans ton corps, ces bactéries fait en sorte que ton système immunitaire va créer des anticorps pour pouvoirs combattre le virus. Ton corps peut créer des anticorps en attrapant la maladie ou en ayant un vaccin, mais c’est beaucoup plus sécuritaire s’il crée des anticorps an ayant un vaccin. De cette façon, le système immunitaire va déjà être près à combattre la pandémique H1N1 s’il reçoit le vaccin.
Deuxièmement, les gens on peur de prendre le vaccin contre le H1N1 parce qu’ils ont peur des effets secondaires. Les effets secondaires du vaccin sont beaucoup moins dangereux que les symptômes de la pandémique H1N1. Elles consistent d’une fièvre mineure et une douleur à l’endroit où la personne s’est fait piquer. C’est certain qu’il y a eu des effets secondaires plus graves, mais au Canada, il y a moins d’un cas d’effets secondaires graves permis un million de vaccins donnés. En regardant aux symptômes de la pandémique, il y a des maux de têtes, une fièvre très élevé, des frissons, la toux, des mal de gorges, une perte d’appétit, des douleurs musculaires et de la fatigue.
Pour conclure, c’est évident qu’une personne qui est affectée par la pandémique H1N1 est beaucoup plus à risque qu’une personne qui reçoit le vaccin. Cela a été confirmé que les vaccins sont sécuritaires et on voit que les effets secondaires du vaccin sont moins graves que les symptômes du pandémique H1N1.
Pour commencer, ce qui est dans les vaccins sont des virus ou des bactéries, qui peuvent être mortes ou en vie. En entrant dans ton corps, ces bactéries fait en sorte que ton système immunitaire va créer des anticorps pour pouvoirs combattre le virus. Ton corps peut créer des anticorps en attrapant la maladie ou en ayant un vaccin, mais c’est beaucoup plus sécuritaire s’il crée des anticorps an ayant un vaccin. De cette façon, le système immunitaire va déjà être près à combattre la pandémique H1N1 s’il reçoit le vaccin.
Deuxièmement, les gens on peur de prendre le vaccin contre le H1N1 parce qu’ils ont peur des effets secondaires. Les effets secondaires du vaccin sont beaucoup moins dangereux que les symptômes de la pandémique H1N1. Elles consistent d’une fièvre mineure et une douleur à l’endroit où la personne s’est fait piquer. C’est certain qu’il y a eu des effets secondaires plus graves, mais au Canada, il y a moins d’un cas d’effets secondaires graves permis un million de vaccins donnés. En regardant aux symptômes de la pandémique, il y a des maux de têtes, une fièvre très élevé, des frissons, la toux, des mal de gorges, une perte d’appétit, des douleurs musculaires et de la fatigue.
Pour conclure, c’est évident qu’une personne qui est affectée par la pandémique H1N1 est beaucoup plus à risque qu’une personne qui reçoit le vaccin. Cela a été confirmé que les vaccins sont sécuritaires et on voit que les effets secondaires du vaccin sont moins graves que les symptômes du pandémique H1N1.
Le recyclage des ordinateurs
De nos jours, l’ordinateur est indispensable dans notre mode de vie, nous avons besoins d’utiliser des ordinateurs pour nous acquitter plus rapidement de nos besoins comme des recherches dans Internet, faire des projets, etc. La vie avance vite et la technologie aussi, il y a toujours des nouveaux modèles selon nos besoins mais ils ne durent pas longtemps et on les change presqu’à tous les deux ans. Les anciens ordinateurs qui n’ont plus leur place parmi nous, partent à la poubelle d’où ils seront recyclés. Le problème est le suivant : est- ce que les consommateurs savent où vont leurs anciens ordinateurs? La pollution qu’ils produisent et les effets sur la santé causés par la fumée des composants qui se trouvent dans nos ordinateurs quand ils sont brûlés?
Développement
Pour commencer, les composants d’ordinateurs sont des polluants, les continents Européen et Américain, qui représentent les consommateurs principaux, ne veulent pas polluer leurs pays. Ils préfèrent envoyer les ordinateurs recyclés en Asie (Inde, Chine, Russie) et en d’Afrique (Ghana, Bénin, Togo, Sénégal), qui sont des pays en voie de développement, en disant que ce sont des ordinateurs d’occasions, comme si ces pays ont des anti-polluants. Ainsi, ils sauvent leur santé et détruisent celle des autres, dans ces pays où il n’existe pas de contrôle, ni de système de recyclage, ni d’industries capables de récupérer les éléments toxiques des ordinateurs d’une manière sécuritaire et sanitaire. Ces pays qui envoient leurs recyclages affirment que ce sont des dons qu’ils font. Normalement, lorsqu’on fait un don à quelqu'un, c’est pour aider ce dernier. Mais leurs dons sont empoisonnés. Par contre, les consommateurs qui envoient leur ordinateur au recyclage, ils ne savent pas que leurs ordinateurs se rendent dans d’autres pays où ils seront réutilisés, et il y a des disques durs qui contiennent des informations personnelles (numéro de compte bancaires et autre).La personne qui reçoit l’ordinateur comme un don aurait accès aux comptes bancaires, aux numéros de cartes de crédits et pourrait se faire plaisir.
En deuxième lieu, personne ne veut un environnement sale ou pollué. En Amérique il y a beaucoup de personnes qui sont conscientes de cela et qui luttent contre la pollution de leur environnement, elles cherchent des solutions contre la pollution : en mettant des poubelles, des sacs de recyclage pour les papiers, etc. Mais pourquoi ne pas finir le travail que vous avez commencé, faire face à vos responsabilités? Au Ghana, il y a des tonnes de déchets d’ordinateurs, qui sont désossés et brûlés par des adolescents pour en tirer les métaux comme du cuivre et pouvoir les vendre pour gagner un peu d’argent pour vivre. Mais ils ne sont pas protégés; ils n’ont ni casque, ni gants, ils n’ont aucun matériel pour faire ce travail alors qu’en Amérique et en Europe, ils ont les moyens de créer des entreprises pour faire le recyclage en toute sécurité.
Pour conclure, dans la vie on dit de toujours penser à son prochain mais en bien et non en mal, toutefois dans la vie d’aujourd’hui, chacune pense qu’à son propre intérêt et cela est vraiment injuste de la part des gens qui ont les moyens, la richesse, mais qui sont trop égoïstes en envoyant leurs déchets dans d’autres pays en voie de développement. Déjà, il y a des jeunes qui travaillent dans les décharges pour chercher à avoir assez d’argent pour manger, mais comment feront-ils quand les effets de la fumée de ces déchets commenceront à réagir sur eux, comment feront-ils pour se soigner?
Développement
Pour commencer, les composants d’ordinateurs sont des polluants, les continents Européen et Américain, qui représentent les consommateurs principaux, ne veulent pas polluer leurs pays. Ils préfèrent envoyer les ordinateurs recyclés en Asie (Inde, Chine, Russie) et en d’Afrique (Ghana, Bénin, Togo, Sénégal), qui sont des pays en voie de développement, en disant que ce sont des ordinateurs d’occasions, comme si ces pays ont des anti-polluants. Ainsi, ils sauvent leur santé et détruisent celle des autres, dans ces pays où il n’existe pas de contrôle, ni de système de recyclage, ni d’industries capables de récupérer les éléments toxiques des ordinateurs d’une manière sécuritaire et sanitaire. Ces pays qui envoient leurs recyclages affirment que ce sont des dons qu’ils font. Normalement, lorsqu’on fait un don à quelqu'un, c’est pour aider ce dernier. Mais leurs dons sont empoisonnés. Par contre, les consommateurs qui envoient leur ordinateur au recyclage, ils ne savent pas que leurs ordinateurs se rendent dans d’autres pays où ils seront réutilisés, et il y a des disques durs qui contiennent des informations personnelles (numéro de compte bancaires et autre).La personne qui reçoit l’ordinateur comme un don aurait accès aux comptes bancaires, aux numéros de cartes de crédits et pourrait se faire plaisir.
En deuxième lieu, personne ne veut un environnement sale ou pollué. En Amérique il y a beaucoup de personnes qui sont conscientes de cela et qui luttent contre la pollution de leur environnement, elles cherchent des solutions contre la pollution : en mettant des poubelles, des sacs de recyclage pour les papiers, etc. Mais pourquoi ne pas finir le travail que vous avez commencé, faire face à vos responsabilités? Au Ghana, il y a des tonnes de déchets d’ordinateurs, qui sont désossés et brûlés par des adolescents pour en tirer les métaux comme du cuivre et pouvoir les vendre pour gagner un peu d’argent pour vivre. Mais ils ne sont pas protégés; ils n’ont ni casque, ni gants, ils n’ont aucun matériel pour faire ce travail alors qu’en Amérique et en Europe, ils ont les moyens de créer des entreprises pour faire le recyclage en toute sécurité.
Pour conclure, dans la vie on dit de toujours penser à son prochain mais en bien et non en mal, toutefois dans la vie d’aujourd’hui, chacune pense qu’à son propre intérêt et cela est vraiment injuste de la part des gens qui ont les moyens, la richesse, mais qui sont trop égoïstes en envoyant leurs déchets dans d’autres pays en voie de développement. Déjà, il y a des jeunes qui travaillent dans les décharges pour chercher à avoir assez d’argent pour manger, mais comment feront-ils quand les effets de la fumée de ces déchets commenceront à réagir sur eux, comment feront-ils pour se soigner?
Quel est le futur d’Énergie NB?
A la fin du mois d’octobre 2009, le publique a appris que le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Shawn Graham, était en train d’essayer de vendre Énergie NB à Hydro-Québec. Par contre, M. Graham n’a pas consulté le publique avant de prendre une décision. Avait-il raison de faire cela? La réaction négative du public démontre qu’en effet, il aurait du consulter avant de négocier avec Jean Charest, le premier ministre du Québec.
Hydro-Québec a promis aux résidents du Nouveau -Brunswick que leurs frais d’électricité seraient gelés pour les prochains cinq ans. Ils ont aussi promis que les compagnies auront les mêmes frais qu’au Québec qui sont 60% mois élever qu’au Nouveau-Brunswick. Tout cela semble être très bien pour les résidents du N-B, mais, que va-t-il arriver après cinq ans? Les frais vont ils baisser ou monter? Les industries vont être très avantagées mais que va-t-il arriver aux frais des résidents? Comment savoir ce qui va arriver à notre énergie si nous ne la contrôlons plus?
Au début de la candidature de Shawn Graham, une de ses promesses électorales était Énergie NB ne serait pas vendue aussi longtemps qu’il était premier ministre du Nouveau-Brunswick. Plusieurs personnes ont ignoré cette promesse parce que Mr. Bernard Lord a créé une loi provinciale qui citait simplement qu’Énergie NB ne pourrait pas être vendue, ce qui démontre que M. Shawn Graham n’est pas un homme honnête. Comment croire tout ce qu’il dit s’il ne peut même pas garder une promesse électorale?
Hydro-Québec a offrent une somme de 4.7 milliards de dollars pour l’achat d’Énergie NB. Le premier ministre Shawn Graham dit qu’avec cette argent on pourrait payer la dette d’Énergie NB. Mais ce qu’il a oublié de mentionner, c’est qu’Hydro Québec ne va pas prendre position des trois usines à carburants fossiles et elle va seulement prendre possession de l’usine nucléaire à pointe lapereau après que les rénovations sont terminées. Les rénovations à Pointe Lepreau sont estimées a environs deux milliards de dollars, ce qui va être une grande dépense.
En conclusion, je crois fortement que vendre Énergie NB est très inutile parce qu’on va perdre une très grande partie de notre économie, aussi on est en train de donner le contrôle de notre énergie a une autre province, une province qui n’est pas en train de faire ceci pour nous aider, mais pour ses propres biens.
Hydro-Québec a promis aux résidents du Nouveau -Brunswick que leurs frais d’électricité seraient gelés pour les prochains cinq ans. Ils ont aussi promis que les compagnies auront les mêmes frais qu’au Québec qui sont 60% mois élever qu’au Nouveau-Brunswick. Tout cela semble être très bien pour les résidents du N-B, mais, que va-t-il arriver après cinq ans? Les frais vont ils baisser ou monter? Les industries vont être très avantagées mais que va-t-il arriver aux frais des résidents? Comment savoir ce qui va arriver à notre énergie si nous ne la contrôlons plus?
Au début de la candidature de Shawn Graham, une de ses promesses électorales était Énergie NB ne serait pas vendue aussi longtemps qu’il était premier ministre du Nouveau-Brunswick. Plusieurs personnes ont ignoré cette promesse parce que Mr. Bernard Lord a créé une loi provinciale qui citait simplement qu’Énergie NB ne pourrait pas être vendue, ce qui démontre que M. Shawn Graham n’est pas un homme honnête. Comment croire tout ce qu’il dit s’il ne peut même pas garder une promesse électorale?
Hydro-Québec a offrent une somme de 4.7 milliards de dollars pour l’achat d’Énergie NB. Le premier ministre Shawn Graham dit qu’avec cette argent on pourrait payer la dette d’Énergie NB. Mais ce qu’il a oublié de mentionner, c’est qu’Hydro Québec ne va pas prendre position des trois usines à carburants fossiles et elle va seulement prendre possession de l’usine nucléaire à pointe lapereau après que les rénovations sont terminées. Les rénovations à Pointe Lepreau sont estimées a environs deux milliards de dollars, ce qui va être une grande dépense.
En conclusion, je crois fortement que vendre Énergie NB est très inutile parce qu’on va perdre une très grande partie de notre économie, aussi on est en train de donner le contrôle de notre énergie a une autre province, une province qui n’est pas en train de faire ceci pour nous aider, mais pour ses propres biens.
AU BOULOT !
En ce qui concerne le choix de carrière des jeunes, pour la plupart, c’est un choix qui exige un grand montant de temps de réflexion et ils trouvent cette décision très difficile grâce aux nombreuses possibilités. En tant qu’étudiante, j’ai observé que pour la majorité des jeunes étudiants ne sont définitivement pas prêts à décider leur cheminement de carrière en douzième année. Il y a deux raisons pour lesquels les étudiants ce cassent la tête en essayant de déterminer le reste de leur vie : Vont-ils regretter d’avoir choisi d’étudier une telle profession ? Devront-ils travailler au lieu d’étudier ?
Pour débuter, les étudiants ont une peur bleue de faire un mauvais choix de carrière. Les études postsecondaires coûtent très cher et si vous étudiez dans le mauvais domaine, vous devez payer de nouveau pour étudier dans un nouveau domaine et vous avez gaspillé un an ou peut-être même un semestre avant de réaliser que tu es dans le mauvais domaine.
Ensuite, il y a des élèves qui ne pensent aller à aucunes études après avoir reçu leur diplôme du secondaire. Cela aussi est un choix assez difficile car c’est un risque, la plupart des gens qui engagent de nouveaux employés préfèrent ceux qui ont réussi des études postsecondaires. En 1998, selon Statistiques Canada 23,3 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans qui n’ont pas obtenue leur diplôme secondaire étaient sur le chômage pourvu que seulement 5,2 % de ceux ayant une maitrise ou un doctorat étaient sur le chômage.
En fin de compte, il est trop tôt pour décider notre cheminement de carrière en ce moment car ont est encore très jeune et nous n’avons pas encore assez vécu ou eu beaucoup d’expérience. Je recommanderais aux élèves de prendre une variété de cours différents pour pouvoir s’enligner sur quel genre de cours vous préférez. À tout âge un choix de carrière est une décision sérieuse et importante qui pourrait possiblement affecter le reste de notre vie.
Pour débuter, les étudiants ont une peur bleue de faire un mauvais choix de carrière. Les études postsecondaires coûtent très cher et si vous étudiez dans le mauvais domaine, vous devez payer de nouveau pour étudier dans un nouveau domaine et vous avez gaspillé un an ou peut-être même un semestre avant de réaliser que tu es dans le mauvais domaine.
Ensuite, il y a des élèves qui ne pensent aller à aucunes études après avoir reçu leur diplôme du secondaire. Cela aussi est un choix assez difficile car c’est un risque, la plupart des gens qui engagent de nouveaux employés préfèrent ceux qui ont réussi des études postsecondaires. En 1998, selon Statistiques Canada 23,3 % des jeunes âgés de 15 à 29 ans qui n’ont pas obtenue leur diplôme secondaire étaient sur le chômage pourvu que seulement 5,2 % de ceux ayant une maitrise ou un doctorat étaient sur le chômage.
En fin de compte, il est trop tôt pour décider notre cheminement de carrière en ce moment car ont est encore très jeune et nous n’avons pas encore assez vécu ou eu beaucoup d’expérience. Je recommanderais aux élèves de prendre une variété de cours différents pour pouvoir s’enligner sur quel genre de cours vous préférez. À tout âge un choix de carrière est une décision sérieuse et importante qui pourrait possiblement affecter le reste de notre vie.
L’espéranto : devrait-on l’apprendre ?
L’espéranto est une langue créée pour la promotion de l’égalité dans le monde : la langue internationale. C’est une bonne méthode de communication mutuelle. Il y a déjà plusieurs organisations et personnes qui utilisent l’espéranto; ça devient de plus en plus populaire. Néanmoins, il y a quand même plusieurs personnes qui ne voient pas l’avantage de cette langue.
Présentement, il y a entre 3 000 000 à 10 000 000 personnes qui utilisent l’espéranto dans 120 pays. Il y a plusieurs hébergeurs dans le monde pour des voyageurs. Comparé à la langue Arabe Saidi avec 18 900 000 locuteurs, on dirait qu’il existe plus d’espéranto que l’on pense. Il y a environ une centaine d’années qu’ils ont lieu des congrès où la langue est utilisée. Il y a des médias comme des radios et des sites-web en espéranto (même le site populaire « Facebook »!) L’espéranto n’est pas une langue morte, elle débute sa croissance!
Au surplus, non seulement que la langue évolue avec vitesse, mais tout le monde peut l’apprendre! C’est la langue artificielle la plus simplifiée au monde, avec des relations avec beaucoup de langues populaires (anglais, français, allemand, italien, espagnol, etc.). Par exemple, tous les noms finissent par « o », donc c’est facile à les identifier! Vous vous demandez où l’apprendre? Aussi simple que dans l’Internet, ou même des bibliothèques qui possèdent des documents, tout simplement. Notamment, il y a de plus en plus d’écoles qui enseignent un cours d’espéranto, mêmes des universités pour tout le monde intéressé.
Avec tout cela considéré, je crois que l’espéranto est une langue importante. Dans le futur, elle va être de plus en plus courante et parlée. Avec des avantages de voyages, des réseaux et médiatiques espérantophones, c’est une langue qui vaut la peine être considérée!
Présentement, il y a entre 3 000 000 à 10 000 000 personnes qui utilisent l’espéranto dans 120 pays. Il y a plusieurs hébergeurs dans le monde pour des voyageurs. Comparé à la langue Arabe Saidi avec 18 900 000 locuteurs, on dirait qu’il existe plus d’espéranto que l’on pense. Il y a environ une centaine d’années qu’ils ont lieu des congrès où la langue est utilisée. Il y a des médias comme des radios et des sites-web en espéranto (même le site populaire « Facebook »!) L’espéranto n’est pas une langue morte, elle débute sa croissance!
Au surplus, non seulement que la langue évolue avec vitesse, mais tout le monde peut l’apprendre! C’est la langue artificielle la plus simplifiée au monde, avec des relations avec beaucoup de langues populaires (anglais, français, allemand, italien, espagnol, etc.). Par exemple, tous les noms finissent par « o », donc c’est facile à les identifier! Vous vous demandez où l’apprendre? Aussi simple que dans l’Internet, ou même des bibliothèques qui possèdent des documents, tout simplement. Notamment, il y a de plus en plus d’écoles qui enseignent un cours d’espéranto, mêmes des universités pour tout le monde intéressé.
Avec tout cela considéré, je crois que l’espéranto est une langue importante. Dans le futur, elle va être de plus en plus courante et parlée. Avec des avantages de voyages, des réseaux et médiatiques espérantophones, c’est une langue qui vaut la peine être considérée!
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