Plusieurs experts nous disent que le 21 décembre 2012 est une date très importante dans le calendrier Maya et que cela signifie la fin du monde. Après plusieurs heures de recherche, nous avons découvert qu’il y aura plusieurs catastrophes ; par exemple, les supervolcans entreront en éruption, le soleil sera à son maximum d’activité, les pôles vont s’inverser, mais que ce ne sera pas la fin du monde.
Pour commencer, les conséquences qui arriveraient si un supervolcan entrait en éruption seraient l’atmosphère polluée par de la poussière, des gaz et des vapeurs que le volcan aurait libérés. Si cela arrive, le soleil sera bloqué, ce qui veut dire que sa lumière ne pourra pas donner ses nutriments aux plantes. Si les plantes n’ont pas de nutriments, elles mourraient et plusieurs espèces animales périraient aussi parce qu’elles n’auraient plus de nourriture. Par contre, les éruptions se produisent tous les six ou sept cent mille ans. Le supervolcan de Yellowstone, Wyoming est celui le plus surveillé. Sa dernière éruption est arrivée il y a 640 000 ans. Il se pourrait qu’il fasse éruption maintenant ou même dans 60 000 ans ; personne ne le sait; puisque les supervolcans n’ont pas de calendrier et rien ne nous prouve quoi que ce soit en 2012.
Pour continuer, le soleil a des stages, il peut être calme ou être à son maximum d’activité. S’il arrive à son maximum, il dévoilera des taches à sa surface et des jets de particules électriques partiraient dans plusieurs directions. Par contre, le champ magnétique et l’atmosphère de la terre nous protègent des éclaboussures de particules électriques que le soleil libère régulièrement, mais en petites quantités. Le pire qui puisse arriver serait des aurores polaires jusqu’à même brûler des parties d’un satellite. Ce n’est rien qui va causer la fin du monde en 2012; seulement plus de télévision ou de cellulaire.
Pour terminer, les pôles magnétiques de la terre vont s’inverser. Dans les 200 millions d’années de l’histoire de la planète, il y a eu 300 inversions. Le dernier était il y a sept millions d’années. Le pire qui pourrait se passer lors de ce changement serait les oiseaux migrateurs qui seraient désorientés; rien de catastrophique!
Pour conclure, les supervolcans vont faire éruption et tout polluer, mais on ne sait pas quand. Le soleil brûlera des parties de satellite qui ne nous feront pas mourir; seulement, nous n’aurons plus de télévision. Maintenant demandez-vous, est-ce que la fin du monde arrivera vraiment le 21 décembre 2012?
mardi 7 juin 2011
Une distraction mortelle, les textos au volant
Aujourd’hui, nous nous apercevons que la plupart des accidents sur la route sont causés par la distraction d’un téléphone cellulaire. Ce texte traitera des dangers et des risques de l’utilisation du cellulaire au volant, ainsi que les annonces publicitaires et les lois qui sont censées sensibiliser les gens par rapport à ce phénomène dangereux.
Pour commencer, à partir du moment où vous tenez un appareil cellulaire en main, vous commettez une infraction, explique Stéphane Lemieux, inspecteur-chef à la division de la sécurité routière et à la circulation pour le Service de police de la ville de Montréal. Pour ceux qui commettent cette infraction, l’amende à payer s’élève à 115$ et est accompagnée de trois points d’inaptitude. Lorsque vous envoyez ou lisez un texto, vos yeux quittent la route pour une durée de quatre à six secondes. Alors, si vous roulez à une vitesse de 90km/h et vous utilisez votre appareil cellulaire, c’est comme traverser un terrain de football, d’environ 110 mètres, avec les yeux fermés. Jean-Marie de Koninck, président de la table québécoise de la sécurité routière, affirme que le fait d’utiliser un téléphone cellulaire tout en conduisant augmente de 23% le risque d’être impliqué dans un accident, soit léger ou même mortel. Donc, l’utilisation d’un cellulaire au volant, c'est-à-dire envoyer des messages ou faire des appels affectent la vision, l’activité mentale et la coordination du conducteur, ce qui est très dangereux. Pier-Luc Morin, décédé en 2010, avait bien démontré ce fait lorsqu’il a perdu contrôle de son véhicule au même moment où il envoyait un texto. Alors, voilà pourquoi il est important de ne pas laisser un petit appareil mettre fin à votre vie.
Ensuite, la Société de l’assurance automobile du Québec commence à lancer une campagne publicitaire qui démontrera que le risque d’accident est très élevé lorsque l’attention du conducteur est détournée par son cellulaire, soit par appels ou messages textes. Ces annonces de 30 secondes seront diffusées sur les grands réseaux de télévision ainsi que sur Internet. La première annonce intitulée « En voiture, ne laissez jamais votre téléphone vous conduire… si intelligent soit-il », s’adresse à tous les conducteurs et met en scène une femme d’affaires qui utilise son téléphone intelligent en conduisant. Puis la seconde s’intitule « Quand t’es là, t’es pas là ». Celle-là s’adresse aux jeunes conducteurs de 16 à 24 ans et met en scène un jeune homme qui envoie un texto à sa blonde en lui disant qu’il est presque arrivé chez elle, mais finalement, il n’y arrivera pas. « Cela cadre bien avec nos propres objectifs, car les jeunes de 16 à 24 ans sont notre clientèle cible » dit l’inspecteur au Service de police de la ville de Gatineau, Claudine Levesque. Selon elle, écrire un texto au volant constitue un risque important de collision. « Il faut que la personne regarde l’écran, tienne le téléphone et compose son message. Il y a des gens qui ne tiennent plus le volant » a-t-elle ajouté. D’autre part, une loi a été mise en place pour les 40% des conducteurs qui utilisent leurs téléphones aux volants. Cette loi s’intitule Le code de la route (article R412-6-1) et voici sont contenu : « L’usage d’un téléphone tenu en main par le conducteur d’un véhicule en circulation est interdit. Le fait, pour tout conducteur, de contrevenir aux dispositions de présent article est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la deuxième classe. » Cette loi devrait faire diminuer les accidents causés par la distraction des cellulaires, qui vient maintenant en quatrième place des accidents les plus fréquents.
Pour conclure, depuis un certain temps, les accidents causés par la distraction d’un cellulaire sont de plus en plus fréquents. L’utilisation d’un cellulaire au volant porte des grands risques d’accidents légers, ainsi que mortels. Puis, les annonces publicitaires et la loi qui concerne les cellulaires pendant la conduite devraient sensibiliser et punir les gens qui commettent cet acte de négligence.
Pour commencer, à partir du moment où vous tenez un appareil cellulaire en main, vous commettez une infraction, explique Stéphane Lemieux, inspecteur-chef à la division de la sécurité routière et à la circulation pour le Service de police de la ville de Montréal. Pour ceux qui commettent cette infraction, l’amende à payer s’élève à 115$ et est accompagnée de trois points d’inaptitude. Lorsque vous envoyez ou lisez un texto, vos yeux quittent la route pour une durée de quatre à six secondes. Alors, si vous roulez à une vitesse de 90km/h et vous utilisez votre appareil cellulaire, c’est comme traverser un terrain de football, d’environ 110 mètres, avec les yeux fermés. Jean-Marie de Koninck, président de la table québécoise de la sécurité routière, affirme que le fait d’utiliser un téléphone cellulaire tout en conduisant augmente de 23% le risque d’être impliqué dans un accident, soit léger ou même mortel. Donc, l’utilisation d’un cellulaire au volant, c'est-à-dire envoyer des messages ou faire des appels affectent la vision, l’activité mentale et la coordination du conducteur, ce qui est très dangereux. Pier-Luc Morin, décédé en 2010, avait bien démontré ce fait lorsqu’il a perdu contrôle de son véhicule au même moment où il envoyait un texto. Alors, voilà pourquoi il est important de ne pas laisser un petit appareil mettre fin à votre vie.
Ensuite, la Société de l’assurance automobile du Québec commence à lancer une campagne publicitaire qui démontrera que le risque d’accident est très élevé lorsque l’attention du conducteur est détournée par son cellulaire, soit par appels ou messages textes. Ces annonces de 30 secondes seront diffusées sur les grands réseaux de télévision ainsi que sur Internet. La première annonce intitulée « En voiture, ne laissez jamais votre téléphone vous conduire… si intelligent soit-il », s’adresse à tous les conducteurs et met en scène une femme d’affaires qui utilise son téléphone intelligent en conduisant. Puis la seconde s’intitule « Quand t’es là, t’es pas là ». Celle-là s’adresse aux jeunes conducteurs de 16 à 24 ans et met en scène un jeune homme qui envoie un texto à sa blonde en lui disant qu’il est presque arrivé chez elle, mais finalement, il n’y arrivera pas. « Cela cadre bien avec nos propres objectifs, car les jeunes de 16 à 24 ans sont notre clientèle cible » dit l’inspecteur au Service de police de la ville de Gatineau, Claudine Levesque. Selon elle, écrire un texto au volant constitue un risque important de collision. « Il faut que la personne regarde l’écran, tienne le téléphone et compose son message. Il y a des gens qui ne tiennent plus le volant » a-t-elle ajouté. D’autre part, une loi a été mise en place pour les 40% des conducteurs qui utilisent leurs téléphones aux volants. Cette loi s’intitule Le code de la route (article R412-6-1) et voici sont contenu : « L’usage d’un téléphone tenu en main par le conducteur d’un véhicule en circulation est interdit. Le fait, pour tout conducteur, de contrevenir aux dispositions de présent article est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la deuxième classe. » Cette loi devrait faire diminuer les accidents causés par la distraction des cellulaires, qui vient maintenant en quatrième place des accidents les plus fréquents.
Pour conclure, depuis un certain temps, les accidents causés par la distraction d’un cellulaire sont de plus en plus fréquents. L’utilisation d’un cellulaire au volant porte des grands risques d’accidents légers, ainsi que mortels. Puis, les annonces publicitaires et la loi qui concerne les cellulaires pendant la conduite devraient sensibiliser et punir les gens qui commettent cet acte de négligence.
Libellés :
Alanis Bernard,
École L'Odyssée,
Moncton N.-B.
Stéroïdes : non seulement ruine le baseball, mais ruine des vies
Depuis le début du baseball il y a eu de nombreux joueurs qui ont joué professionnellement. Pour la plupart, ils ont joué leur pleine carrière sans utiliser de stéroïdes pour aider à augmenter leurs performances sur le terrain, mais depuis les années 1990, il y a eu des investigations sur les joueurs de la Ligue Majeure de Baseball.
Pour commencer, la Ligue Majeure de Baseball a été créé à la fin du dix-neuvième siècle. Pendant cette ère, il était rare de voir des joueurs frapper plus de vingt coups de circuit en une saison. Le premier joueur à entrer dans la ligue qui possédait le talent et la force pour avoir des saisons de non seulement vingt coups de circuit, mais de quarante coups et plus, était George Herman Ruth, aussi connu sous le nom de ‹‹Babe Ruth››. Il entra dans la ligue en 1914 et battit plusieurs records durant sa carrière professionnelle qui s’est terminée en 1935 avec 714 coups de circuit.
Ensuite, vers la fin des années 1990, il y a eu de nombreuses accusations par la Ligue Majeure de Baseball, au sujet de l’utilisation des stéroïdes par les joueurs. La plupart de ces joueurs étaient les vedettes de la Ligue, comme Mark McGwire, Sammy Sosa et Jose Canseco. En 1998, les recherches on été intensifiées quand Mark McGwire a battu le record de Roger Maris qui avait frappé 61 coups de circuit (ce qui fut établi en 1961) avec un incroyable 73 coups de circuit. Non seulement que Mark avait établi des statistiques comme cela, mais Sammy Sosa frappa 66 coups de circuits cette année. Mais aussi le fait que ces deux joueurs semblaient avoir mis trente livres de muscles additionnels entre la saison de 1997 à celle de 1998.
De plus, le ‹‹Mitchell Report›› qui fut publié le treize décembre 2007, était le rapport d’une investigation à propos de l’utilisation des stéroïdes dans le baseball professionnel. Ce rapport marquait 89 noms de joueurs comme Barry Bonds, Roger Clements, Sammy Sosa et Mark McGwire qui avaient utilisé des stéroïdes ou des drogues pour aider leurs performances. Un de ces 89 noms, était Jose Canseco. Il avoua d’avoir utilisé des stéroïdes dans son livre ‹‹″Juiced : Wild Times, Rampant ‘Roids, Smash Hits and How Baseball Got Big″››. Dans ce livre il marqua qu’il était certain qu’il avait jusqu’à 85% des joueurs dans la Ligue qui utilisaient des drogues pour aider leur performance.
Aussi, les stéroïdes sont un gros problème dans le monde des sports, ils se sont rendus jusqu’aux écoles secondaires. Dans une enquête faite par le ‹‹Center for Disease Control and Prevention study››, il y a quatre à six pour cent des athlètes des écoles secondaires qui admettent avoir déjà utilisé des drogues pour une meilleure performance. Ces athlètes utilisent ces drogues car ils ressentent une grosse pression d’être capables de, peut-être un jour, jouer leurs sports préférés comme carrière. Pour cela, ils sont prêts à avoir des problèmes de santé comme la perte de cheveux, l’infécondité et même la mort.
Pour conclure, les stéroïdes ruinent les sports et aussi les vies des athlètes. On dirait que maintenant, pour avoir du succès dans un sport, il faut tricher, même si cela veut dire que nous pourrions mourir à cause de ces drogues. Cela fait penser, est-ce qu’un sport est vraiment une bonne raison de risquer de mourir?
Pour commencer, la Ligue Majeure de Baseball a été créé à la fin du dix-neuvième siècle. Pendant cette ère, il était rare de voir des joueurs frapper plus de vingt coups de circuit en une saison. Le premier joueur à entrer dans la ligue qui possédait le talent et la force pour avoir des saisons de non seulement vingt coups de circuit, mais de quarante coups et plus, était George Herman Ruth, aussi connu sous le nom de ‹‹Babe Ruth››. Il entra dans la ligue en 1914 et battit plusieurs records durant sa carrière professionnelle qui s’est terminée en 1935 avec 714 coups de circuit.
Ensuite, vers la fin des années 1990, il y a eu de nombreuses accusations par la Ligue Majeure de Baseball, au sujet de l’utilisation des stéroïdes par les joueurs. La plupart de ces joueurs étaient les vedettes de la Ligue, comme Mark McGwire, Sammy Sosa et Jose Canseco. En 1998, les recherches on été intensifiées quand Mark McGwire a battu le record de Roger Maris qui avait frappé 61 coups de circuit (ce qui fut établi en 1961) avec un incroyable 73 coups de circuit. Non seulement que Mark avait établi des statistiques comme cela, mais Sammy Sosa frappa 66 coups de circuits cette année. Mais aussi le fait que ces deux joueurs semblaient avoir mis trente livres de muscles additionnels entre la saison de 1997 à celle de 1998.
De plus, le ‹‹Mitchell Report›› qui fut publié le treize décembre 2007, était le rapport d’une investigation à propos de l’utilisation des stéroïdes dans le baseball professionnel. Ce rapport marquait 89 noms de joueurs comme Barry Bonds, Roger Clements, Sammy Sosa et Mark McGwire qui avaient utilisé des stéroïdes ou des drogues pour aider leurs performances. Un de ces 89 noms, était Jose Canseco. Il avoua d’avoir utilisé des stéroïdes dans son livre ‹‹″Juiced : Wild Times, Rampant ‘Roids, Smash Hits and How Baseball Got Big″››. Dans ce livre il marqua qu’il était certain qu’il avait jusqu’à 85% des joueurs dans la Ligue qui utilisaient des drogues pour aider leur performance.
Aussi, les stéroïdes sont un gros problème dans le monde des sports, ils se sont rendus jusqu’aux écoles secondaires. Dans une enquête faite par le ‹‹Center for Disease Control and Prevention study››, il y a quatre à six pour cent des athlètes des écoles secondaires qui admettent avoir déjà utilisé des drogues pour une meilleure performance. Ces athlètes utilisent ces drogues car ils ressentent une grosse pression d’être capables de, peut-être un jour, jouer leurs sports préférés comme carrière. Pour cela, ils sont prêts à avoir des problèmes de santé comme la perte de cheveux, l’infécondité et même la mort.
Pour conclure, les stéroïdes ruinent les sports et aussi les vies des athlètes. On dirait que maintenant, pour avoir du succès dans un sport, il faut tricher, même si cela veut dire que nous pourrions mourir à cause de ces drogues. Cela fait penser, est-ce qu’un sport est vraiment une bonne raison de risquer de mourir?
Libellés :
David Gallant,
École L'Odyssée,
Moncton N.-B.
mercredi 1 juin 2011
Les moyens esthétiques sont-ils esthétiques?
De nos jours, l’apparence physique devient de plus en plus importante. On a recours à l’art de se maquiller, ce qui est tout à fait convenable. Par contre, on ne devrait pas utiliser diverses méthodes telles que l’épilation laser, la chirurgie plastique et les pilules amaigrissantes puisqu’elles sont nocives.
Pour débuter, l’épilation laser est une méthode d’épilation définitive, c’est-à-dire que les poils ne repousseront jamais. Ce genre de traitement s’avère très coûteux et dangereux dans le sens qu’il laisse des marques sur l’épiderme. Il y a des risques de brûlures, de cicatrices et d’inflammation. En plus, ceux qui ont la peau bronzée sont portés à avoir des brûlures cutanées, des taches et des décolorations à certains endroits, sans ajouter que le degré de douleur est élevé. Le plus désolant est que le laser échoue chez 20% des gens pour un prix qui varie entre 400$ et 3000$. Par ailleurs, le traitement s’étale sur environ six séances espacées de six semaines chacune. C’est inutile de se donner toute cette peine alors qu’il y a d’autres moyens.
Pour continuer, la chirurgie plastique est un processus très sérieux qui peut entraîner des complications majeures. Il faut dire que chaque intervention chirurgicale laisse une cicatrice qui peut soit guérir ou soit s’aggraver. Si elle s’aggrave, elle peut produire une marque rouge et se multiplier. L’augmentation mammaire est la seconde intervention la plus pratiquée avec 17% de chirurgie parmi d’autres. Il y a des chances d’infection de l’implant. En conséquent, une autre chirurgie est nécessaire sinon c’est la mort. Plusieurs gens pensent qu’après la chirurgie tout est beau et on rentre chez soi commencer une belle nouvelle vie mais c’est faux. Le temps de guérison est long et douloureux. Sans compter que les résultats finals ne sont visibles qu’après plusieurs semaines suivant la chirurgie.
Ensuite, parlons des fameuses pilules amaigrissantes. Un grand nombre de pilules de régime sont inefficaces et comportent quelques dangers. Par exemple, une substance retrouvée dans ces pilules est l’éphédra qui a comme effet de stimuler le système nerveux central et le cœur. Il y a aussi l’éphédrine qui agit de la même manière que l’adrénaline. Elle augmente la tension artérielle puis, c’est aussi un stimulant cardiaque. Tous ces effets apportent à leur tour des effets secondaires tels que les palpitations, la dépression, l’insomnie et l’énervement. La conséquence peut être la mort. D’ailleurs, Santé Canada avise les consommateurs de ne pas utiliser des produits non approuvés, car ceux-ci peuvent contenir des substances pouvant engendrer des effets secondaires graves.
Bref, l’esthétique affecte trop de gens. Vous avez vu les risques de la chirurgie. Pourquoi ne pas plutôt vous accepter comme vous êtes au lieu de prendre le risque d’avoir des cicatrices ou pires? Il y a d’autres moyens de dissimuler nos poils comme par exemple, les crèmes épilatoires, l’épilation naturelle et même la teinture. Acceptez-vous comme vous êtes, mangez bien, faites du sport et entourez vous de bonnes personnes. Vous verrez que c’est le meilleur remède pour la beauté intérieure et extérieure.
Pour débuter, l’épilation laser est une méthode d’épilation définitive, c’est-à-dire que les poils ne repousseront jamais. Ce genre de traitement s’avère très coûteux et dangereux dans le sens qu’il laisse des marques sur l’épiderme. Il y a des risques de brûlures, de cicatrices et d’inflammation. En plus, ceux qui ont la peau bronzée sont portés à avoir des brûlures cutanées, des taches et des décolorations à certains endroits, sans ajouter que le degré de douleur est élevé. Le plus désolant est que le laser échoue chez 20% des gens pour un prix qui varie entre 400$ et 3000$. Par ailleurs, le traitement s’étale sur environ six séances espacées de six semaines chacune. C’est inutile de se donner toute cette peine alors qu’il y a d’autres moyens.
Pour continuer, la chirurgie plastique est un processus très sérieux qui peut entraîner des complications majeures. Il faut dire que chaque intervention chirurgicale laisse une cicatrice qui peut soit guérir ou soit s’aggraver. Si elle s’aggrave, elle peut produire une marque rouge et se multiplier. L’augmentation mammaire est la seconde intervention la plus pratiquée avec 17% de chirurgie parmi d’autres. Il y a des chances d’infection de l’implant. En conséquent, une autre chirurgie est nécessaire sinon c’est la mort. Plusieurs gens pensent qu’après la chirurgie tout est beau et on rentre chez soi commencer une belle nouvelle vie mais c’est faux. Le temps de guérison est long et douloureux. Sans compter que les résultats finals ne sont visibles qu’après plusieurs semaines suivant la chirurgie.
Ensuite, parlons des fameuses pilules amaigrissantes. Un grand nombre de pilules de régime sont inefficaces et comportent quelques dangers. Par exemple, une substance retrouvée dans ces pilules est l’éphédra qui a comme effet de stimuler le système nerveux central et le cœur. Il y a aussi l’éphédrine qui agit de la même manière que l’adrénaline. Elle augmente la tension artérielle puis, c’est aussi un stimulant cardiaque. Tous ces effets apportent à leur tour des effets secondaires tels que les palpitations, la dépression, l’insomnie et l’énervement. La conséquence peut être la mort. D’ailleurs, Santé Canada avise les consommateurs de ne pas utiliser des produits non approuvés, car ceux-ci peuvent contenir des substances pouvant engendrer des effets secondaires graves.
Bref, l’esthétique affecte trop de gens. Vous avez vu les risques de la chirurgie. Pourquoi ne pas plutôt vous accepter comme vous êtes au lieu de prendre le risque d’avoir des cicatrices ou pires? Il y a d’autres moyens de dissimuler nos poils comme par exemple, les crèmes épilatoires, l’épilation naturelle et même la teinture. Acceptez-vous comme vous êtes, mangez bien, faites du sport et entourez vous de bonnes personnes. Vous verrez que c’est le meilleur remède pour la beauté intérieure et extérieure.
Libellés :
École L'Odyssée,
Hawa Sidibé,
Moncton N.-B.
Écologique? Mon œil!
Depuis l’invention de la roue, l’homme ne cesse d’innover, de façonner et de créer de nouvelles technologies afin de faciliter son travail. De nos jours, ces dernières sont appelées écologique, mais consomment beaucoup d’électricité, sont fabriquées à partir de ressources non renouvelables et sont composées de logiciels de plus en plus gourmands, une question se pose alors, représentent-elles bien leur appellation ?
La consommation énergétique des nouvelles technologies a augmenté de100 %, en France, depuis dix ans, c’est-à-dire 10% par année. Pourtant celles-ci sont essentiellement fabriquées de sorte à réduire les émissions de gaz à effet de serre. En 2008, on estime que les Technologie de l’Information et de la Communication (T.I.C) représentent 5% des émissions françaises. Malheureusement, le matériel informatique est essentiellement fabriqué en Asie où le KW/h est près de dix fois plus carboné qu’en France.
En effet, les composantes électroniques qui constituent les éléments de base d’un ordinateur nécessitent d’importantes quantités de métaux précieux, terre rare, et minerais comme le terbium, l’hafnium, l’argent, l’or, le zinc, le coltan, etc., à leur fabrication. Les gisements connus de ces matériaux rares seront épuisés d’ici deux à trente ans. Le problème est que les composantes qui y sont fabriquées, ne supportent souvent pas les mises à jour des logiciels en constante évolution.
De nos jours, les logiciels sont de plus en plus gourmands et demandent toujours plus de performance aux ordinateurs. L’empreinte environnementale des T.I.C est principalement liées à la fabrication et à la fin de vie du matériel. Donc pour réduire cette empreinte il est primordial d’utiliser le matériel le plus longtemps que possible. Or, la durée d’utilisation d’un ordinateur a été divisée en quatre, en vingt-cinq ans pour atteindre moins de trois ans en 2005.
La consommation énergétique des nouvelles technologies a augmenté de100 %, en France, depuis dix ans, c’est-à-dire 10% par année. Pourtant celles-ci sont essentiellement fabriquées de sorte à réduire les émissions de gaz à effet de serre. En 2008, on estime que les Technologie de l’Information et de la Communication (T.I.C) représentent 5% des émissions françaises. Malheureusement, le matériel informatique est essentiellement fabriqué en Asie où le KW/h est près de dix fois plus carboné qu’en France.
En effet, les composantes électroniques qui constituent les éléments de base d’un ordinateur nécessitent d’importantes quantités de métaux précieux, terre rare, et minerais comme le terbium, l’hafnium, l’argent, l’or, le zinc, le coltan, etc., à leur fabrication. Les gisements connus de ces matériaux rares seront épuisés d’ici deux à trente ans. Le problème est que les composantes qui y sont fabriquées, ne supportent souvent pas les mises à jour des logiciels en constante évolution.
De nos jours, les logiciels sont de plus en plus gourmands et demandent toujours plus de performance aux ordinateurs. L’empreinte environnementale des T.I.C est principalement liées à la fabrication et à la fin de vie du matériel. Donc pour réduire cette empreinte il est primordial d’utiliser le matériel le plus longtemps que possible. Or, la durée d’utilisation d’un ordinateur a été divisée en quatre, en vingt-cinq ans pour atteindre moins de trois ans en 2005.
Libellés :
École L'Odyssée,
Moncton N.-B.,
Roger Booto
La commotion cérébrale, un traumatisme grave
Partout dans le monde, des athlètes souffrent des commotions cérébrales, souvent causées par des coups à la tête ou à la mâchoire. Ceci est certainement un sujet très controversé dans la LNH dernièrement. Donc, est-ce que les coups à la tête font parties du jeu? Plusieurs statistiques alarmantes démontrent que les traumatismes crâniens au hockey sont beaucoup trop fréquents.
Tout d’abord, les symptômes de cette grave blessure sont : avoir des maux de tête, être confus, avoir de la difficulté à se concentrer, avoir des nausées, avoir des étourdissements et des bourdonnements d'oreilles. Le joueur le plus populaire qui a été victime de ces symptômes au cours des derniers mois est certainement le capitaine des Penguins de Pittsburgh, Sidney Crosby. Ce dernier n'a pas joué depuis le 5 janvier en raison d’un coup vicieux à la tête. La ligue souffre énormément lorsqu’un joueur de ce calibre est hors de l’alignement car les joueurs vedettes augmentent le taux d’assistance, ce qui augmente le revenu de la ligue. Le message est donc clair, les coups à la tête doivent être éliminés du hockey.
Par ailleurs, le Dr Paul Echlin et ses collègues ont suivi 67 jeunes hockeyeurs juniors durant la saison 2009-2010 pour constater que 17 joueurs ont subi un total de 21 commotions cérébrales pendant les 52 matchs. De plus, les commotions cérébrales peuvent constituer de très sévères blessures au cerveau. Les joueurs qui subissent ce genre de blessures ne peuvent revenir au jeu avant treize jours, en moyenne. Toutefois, le tiers des joueurs doit attendre bien plus longtemps avant de s'en remettre complètement. Les victimes de commotions sont les seuls qui peuvent comprendre la sévérité de cette blessure. Selon Nick Kypreos, ancien joueur de la LNH, «C'est comme un rêve dont on n'arrive pas à se souvenir. J'avais déjà souffert de nombreuses commotions et je n'avais plus besoin de continuer à prendre de risques. Je devais penser à mon avenir. » C’est dommage que ce type de blessure peut raccourcir la carrière professionnelle d’un joueur.
Pour conclure, les commotions cérébrales sont un problème sérieux dans le hockey et des actions doivent être prises pour assurer la sécurité des joueurs. Il faut aussi prendre en considération qu’elles endommagent assurément l'organe le plus fragile du corps humain.
Tout d’abord, les symptômes de cette grave blessure sont : avoir des maux de tête, être confus, avoir de la difficulté à se concentrer, avoir des nausées, avoir des étourdissements et des bourdonnements d'oreilles. Le joueur le plus populaire qui a été victime de ces symptômes au cours des derniers mois est certainement le capitaine des Penguins de Pittsburgh, Sidney Crosby. Ce dernier n'a pas joué depuis le 5 janvier en raison d’un coup vicieux à la tête. La ligue souffre énormément lorsqu’un joueur de ce calibre est hors de l’alignement car les joueurs vedettes augmentent le taux d’assistance, ce qui augmente le revenu de la ligue. Le message est donc clair, les coups à la tête doivent être éliminés du hockey.
Par ailleurs, le Dr Paul Echlin et ses collègues ont suivi 67 jeunes hockeyeurs juniors durant la saison 2009-2010 pour constater que 17 joueurs ont subi un total de 21 commotions cérébrales pendant les 52 matchs. De plus, les commotions cérébrales peuvent constituer de très sévères blessures au cerveau. Les joueurs qui subissent ce genre de blessures ne peuvent revenir au jeu avant treize jours, en moyenne. Toutefois, le tiers des joueurs doit attendre bien plus longtemps avant de s'en remettre complètement. Les victimes de commotions sont les seuls qui peuvent comprendre la sévérité de cette blessure. Selon Nick Kypreos, ancien joueur de la LNH, «C'est comme un rêve dont on n'arrive pas à se souvenir. J'avais déjà souffert de nombreuses commotions et je n'avais plus besoin de continuer à prendre de risques. Je devais penser à mon avenir. » C’est dommage que ce type de blessure peut raccourcir la carrière professionnelle d’un joueur.
Pour conclure, les commotions cérébrales sont un problème sérieux dans le hockey et des actions doivent être prises pour assurer la sécurité des joueurs. Il faut aussi prendre en considération qu’elles endommagent assurément l'organe le plus fragile du corps humain.
Libellés :
École L'Odyssée,
Moncton N.-B.,
Patrick Doucette
Un choix altruiste
Le mouvement écologique ou « vert » a pris beaucoup d’ampleur ces dernières années. La déforestation, les pénuries d’eau, l’extinction de plusieurs milliers d’espèces animales sauvages et la famine sont tous des sujets qui font la une et qui inquiètent le monde entier. Les gens n’ont que les mots « biologique », « vert » ou « organique » à la bouche et il existe de plus en plus de végétariens. Mais beaucoup hésitent, se demandant si le végétarisme est réellement une solution à ces problèmes. La réponse est oui! Le végétarisme comporte bien plus d’avantages qu’une alimentation pourvue de viande, pour soi-même ainsi que la terre.
Tout d’abord, la production de viande représente un important gaspillage de ressources pour peu de résultats. Il faut, en effet, quatre calories de nourriture végétale pour obtenir une seule calorie de poulet ou de porc. Pour produire du lait, il en faut huit et dix-sept, et parfois bien plus, pour avoir une calorie de bœuf. Cela va sans compter les besoins en eau; il faut 25 000 litres d’eau pour obtenir 100 grammes de bœuf. La famine est également un sujet important, plusieurs organisations œuvrent présentement dans le but de l’éradiquer. Peu de gens savent qu’il est possible pour un agriculteur, sur un terrain consacré à la culture de fruits ou de légumes, de nourrir une trentaine de personnes. S’il décide d’employer son terrain pour la production de viande, ce ratio passe à cinq personnes. Le végétarisme peut effectivement sauver 923 millions de gens souffrants de la faim! La déforestation qui a lieu un peu partout pour faire la place aux troupeaux de bétail qui augmentent de façon exponentielle peut aussi prendre fin; en arrêtant la consommation de produits d’origine animale, il est possible de réduire la destruction des forêts tropicales de 70%.
Aussi, le mode de vie végétarien n’est pas seulement bénéfique pour la terre, mais aussi pour soi-même. Les végétariens sont moins à risque de développer des problèmes cardiaques. L’élimination de la viande dans l’alimentation peut être synonyme de baisse du taux de gras ingéré et également du taux d’exposition aux quelques 20 000 drogues utilisées pour prévenir les maladies et augmenter la croissance chez les animaux. En plus, les protéines fournies par la viande sont facilement trouvées dans le tofu ou les noix. Il existe même du tofu qui a la saveur de viande.
De plus, les conditions dans lesquelles les animaux sont élevés sont, pour le moins, déplorables. Ces derniers, bourrés d’antibiotiques et d’hormones de croissance, sont sujets aux pires tortures. Les poules sont souvent enfermées dans de petites cages où elles ne peuvent même pas se retourner. Gavées de grain enrichi d’hormones, elles atteignent des tailles énormes. Leurs jambes, incapables de supporter un tel poids, se cassent, et ces poules se voient obligées de souffrir longuement. Les vaches, elles, se font couper la queue sans qu’aucun anesthésiant ne soit administré. Les cochons sont victimes de bien plus; étant parfois accrochés au mur ou au plafond par la peau du cou alors qu’ils sont encore vivants. Tout cela est fait pour sauver temps et argent. Anxiété, peur et douleur règnent dans ces abattoirs et ces traitements infligés sont d’une cruauté inutile et ignoble.
En conclusion, le végétarisme offre une solution intelligente aux nombreux problèmes dans le monde, permettant d’arrêter famine, déforestation et pénuries d’eau. C’est un changement facile à faire qui ne demande que peu d’efforts, alors pourquoi ne pas le faire aujourd’hui?
Tout d’abord, la production de viande représente un important gaspillage de ressources pour peu de résultats. Il faut, en effet, quatre calories de nourriture végétale pour obtenir une seule calorie de poulet ou de porc. Pour produire du lait, il en faut huit et dix-sept, et parfois bien plus, pour avoir une calorie de bœuf. Cela va sans compter les besoins en eau; il faut 25 000 litres d’eau pour obtenir 100 grammes de bœuf. La famine est également un sujet important, plusieurs organisations œuvrent présentement dans le but de l’éradiquer. Peu de gens savent qu’il est possible pour un agriculteur, sur un terrain consacré à la culture de fruits ou de légumes, de nourrir une trentaine de personnes. S’il décide d’employer son terrain pour la production de viande, ce ratio passe à cinq personnes. Le végétarisme peut effectivement sauver 923 millions de gens souffrants de la faim! La déforestation qui a lieu un peu partout pour faire la place aux troupeaux de bétail qui augmentent de façon exponentielle peut aussi prendre fin; en arrêtant la consommation de produits d’origine animale, il est possible de réduire la destruction des forêts tropicales de 70%.
Aussi, le mode de vie végétarien n’est pas seulement bénéfique pour la terre, mais aussi pour soi-même. Les végétariens sont moins à risque de développer des problèmes cardiaques. L’élimination de la viande dans l’alimentation peut être synonyme de baisse du taux de gras ingéré et également du taux d’exposition aux quelques 20 000 drogues utilisées pour prévenir les maladies et augmenter la croissance chez les animaux. En plus, les protéines fournies par la viande sont facilement trouvées dans le tofu ou les noix. Il existe même du tofu qui a la saveur de viande.
De plus, les conditions dans lesquelles les animaux sont élevés sont, pour le moins, déplorables. Ces derniers, bourrés d’antibiotiques et d’hormones de croissance, sont sujets aux pires tortures. Les poules sont souvent enfermées dans de petites cages où elles ne peuvent même pas se retourner. Gavées de grain enrichi d’hormones, elles atteignent des tailles énormes. Leurs jambes, incapables de supporter un tel poids, se cassent, et ces poules se voient obligées de souffrir longuement. Les vaches, elles, se font couper la queue sans qu’aucun anesthésiant ne soit administré. Les cochons sont victimes de bien plus; étant parfois accrochés au mur ou au plafond par la peau du cou alors qu’ils sont encore vivants. Tout cela est fait pour sauver temps et argent. Anxiété, peur et douleur règnent dans ces abattoirs et ces traitements infligés sont d’une cruauté inutile et ignoble.
En conclusion, le végétarisme offre une solution intelligente aux nombreux problèmes dans le monde, permettant d’arrêter famine, déforestation et pénuries d’eau. C’est un changement facile à faire qui ne demande que peu d’efforts, alors pourquoi ne pas le faire aujourd’hui?
Libellés :
Annika Linn Chiasson,
École L'Odyssée,
Moncton N.-B.
Dans une chambre ronde
On peut associer aux Grecs la création de la démocratie, avec leurs assemblées publiques durant lesquelles tout citoyen était convoqué. Depuis, dans ce « nouveau monde civilisé » se sont formés des groupes de gens qu’on aura nommés « partis. » Une démocratie ne serait-elle pas favorable à des groupements pusillanimes de politiciens si elle était guidée par un leadership exemplaire, des convictions ineffables, un sang-froid inexorable et des individus humains et indépendants? La perte d’individualisme et le favoritisme face aux partis plus expérimentés provoquent ce questionnement.
D’abord, dans ce monde où l’individualisation, tant dans les blogues que dans l’expression artistique, fait rage, des candidats qui se représenteraient et qui se distingueraient par leurs convictions et leurs valeurs personnelles seraient beaucoup plus représentatifs de la vaste population multiculturelle dont nous sommes fiers au Canada. Si on s’imaginait député non pour se cacher derrière une idéologie déjà construite par un parti, mais plutôt pour montrer une passion pour ce que tiennent à cœur les résidents desquels on sera porte-parole, on aurait fait un progrès énorme. De plus, comme toute personne acquiert une maturité avec l’âge, le candidat ferait mûrir ses convictions, sauterait d’une politique de droite à gauche ou de gauche à droite, selon la nécessité des enjeux. On se souviendra sûrement des dernières élections durant lesquelles les impopulaires Gilles Duceppe et Michael Ignatieff perdaient du terrain à vue d’œil, tandis que Stephen Harper et Jack Layton en gagnaient à perte de vue. Les Canadiens votaient-ils, alors, pour une représentation à la tête du pays, en démontrant leur soutien à quelqu’un de la région qui s’était affublé les mêmes couleurs que celui-ci, notre réel représentant? Si le changement d’idéologies se faisait et que les partis étaient complètement dissous, certains citoyens décideraient de ne pas afficher leur visage dans la ville, de peur que leur propre voix soit mise à nu. C’est ensuite que jailliraient du néant les leaders qui, si on en croit la population canadienne, avaient l’air de se cacher depuis longtemps. Le vote des députés se ferait indépendamment du vote du Premier ministre, qui serait choisi par ses derniers.
Ensuite, même si certains d’entre vous, toujours sceptiques, se demandent pourquoi les politiciens, s’ils croient, comme l’auteure de ce texte, à un Canada sans partis, ils devraient se lancer comme indépendants. Bien pensé, mais la vie d’un parti mineur, c’est-à-dire un parti à moins de douze sièges au Parlement, est sans cesse piétinée par les partis plus « crédibles » ou « traditionnels. » Elizabeth May, leader du Parti vert, n’a pas participé au débat des chefs de 2011 : elle n’avait aucun siège dans la Chambre des Communes. Si les députés étaient tous différents, ils seraient tous pareils, si bien que l’intégrité des politiciens ne serait pas corrompue par le passé de la couleur de leur cravate. Imaginez maintenant le contraire du multipartisme : un gouvernement, un régime parlementaire d’une seule et unique équipe. C’est ce qui est arrivé au Nouveau-Brunswick en 1987, lorsque les Libéraux ont occupé la totalité des cinquante-huit sièges de l’Assemblée législative. N’ayant aucune opposition, la prise de décisions devenait soudainement plus simple et facile…
Bref, il ne reste à dire qu’à cause des problèmes reconnus par une grande majorité, un changement majeur est de mise pour qu’enfin, on se représente pour le peuple et qu’on se débarrasse des préjugés face à certains partis. Un meilleur Canada, une démocratie plus pure: voilà ce qu’on obtiendrait si les libéraux se conservaient et les conservateurs se libéraient… dans une nouvelle démocratie.
D’abord, dans ce monde où l’individualisation, tant dans les blogues que dans l’expression artistique, fait rage, des candidats qui se représenteraient et qui se distingueraient par leurs convictions et leurs valeurs personnelles seraient beaucoup plus représentatifs de la vaste population multiculturelle dont nous sommes fiers au Canada. Si on s’imaginait député non pour se cacher derrière une idéologie déjà construite par un parti, mais plutôt pour montrer une passion pour ce que tiennent à cœur les résidents desquels on sera porte-parole, on aurait fait un progrès énorme. De plus, comme toute personne acquiert une maturité avec l’âge, le candidat ferait mûrir ses convictions, sauterait d’une politique de droite à gauche ou de gauche à droite, selon la nécessité des enjeux. On se souviendra sûrement des dernières élections durant lesquelles les impopulaires Gilles Duceppe et Michael Ignatieff perdaient du terrain à vue d’œil, tandis que Stephen Harper et Jack Layton en gagnaient à perte de vue. Les Canadiens votaient-ils, alors, pour une représentation à la tête du pays, en démontrant leur soutien à quelqu’un de la région qui s’était affublé les mêmes couleurs que celui-ci, notre réel représentant? Si le changement d’idéologies se faisait et que les partis étaient complètement dissous, certains citoyens décideraient de ne pas afficher leur visage dans la ville, de peur que leur propre voix soit mise à nu. C’est ensuite que jailliraient du néant les leaders qui, si on en croit la population canadienne, avaient l’air de se cacher depuis longtemps. Le vote des députés se ferait indépendamment du vote du Premier ministre, qui serait choisi par ses derniers.
Ensuite, même si certains d’entre vous, toujours sceptiques, se demandent pourquoi les politiciens, s’ils croient, comme l’auteure de ce texte, à un Canada sans partis, ils devraient se lancer comme indépendants. Bien pensé, mais la vie d’un parti mineur, c’est-à-dire un parti à moins de douze sièges au Parlement, est sans cesse piétinée par les partis plus « crédibles » ou « traditionnels. » Elizabeth May, leader du Parti vert, n’a pas participé au débat des chefs de 2011 : elle n’avait aucun siège dans la Chambre des Communes. Si les députés étaient tous différents, ils seraient tous pareils, si bien que l’intégrité des politiciens ne serait pas corrompue par le passé de la couleur de leur cravate. Imaginez maintenant le contraire du multipartisme : un gouvernement, un régime parlementaire d’une seule et unique équipe. C’est ce qui est arrivé au Nouveau-Brunswick en 1987, lorsque les Libéraux ont occupé la totalité des cinquante-huit sièges de l’Assemblée législative. N’ayant aucune opposition, la prise de décisions devenait soudainement plus simple et facile…
Bref, il ne reste à dire qu’à cause des problèmes reconnus par une grande majorité, un changement majeur est de mise pour qu’enfin, on se représente pour le peuple et qu’on se débarrasse des préjugés face à certains partis. Un meilleur Canada, une démocratie plus pure: voilà ce qu’on obtiendrait si les libéraux se conservaient et les conservateurs se libéraient… dans une nouvelle démocratie.
Libellés :
Christine Melanson,
École L'Odyssée,
Moncton N.-B.
Notre démocratie existe-t-elle encore?
Est-ce que le système électoral du Canada fait l’exercice d’une réelle démocratie? C’est une question souvent posée au cours des cinq dernières années. Il n’y a pas longtemps, la démocratie du Canada était respectée sur la scène politique internationale. Aujourd’hui, elle n’est même plus respectée par ses citoyens. Voici trois réformes démocratiques qui apporteront le Canada vers une réelle démocratie.
Il est déplorable de constater que le mode de scrutin uninominal du Canada, où l’on vote pour des candidats de partis politiques et ceux avec le plus grand nombre de votes remportent unanimement dans leur circonscription, ne fonctionne pas de manière démocratique. Le Canada doit adopter le mode de scrutin proportionnel, celui-ci est juste et représente une manière réellement démocratique d’élire un parti politique au pouvoir. Dans le mode de scrutin proportionnel, les citoyens votent pour le parti et choisissent quelques candidats parmi d’autres pour les représenter à la Chambre des communes. Le parti gagnant ne représente pas unanimement les circonscriptions. Son nombre de sièges au Parlement est déterminé par le pourcentage de votes qu’il a obtenu. Par exemple, si un parti a reçu 35% du vote populaire au Canada, alors il obtient 35% des sièges à la Chambre des communes. Si on arrondit les pourcentages des dernières élections fédérales en 2011, on constate que le parti conservateur a remporté 40% du vote populaire, soit 167 sièges à Ottawa. Cela donne aux Conservateurs 54% des sièges à la Chambre des communes même s’ils ont seulement eu 40% des votes. Les 167 sièges du parti conservateur ne reflètent pas le 40% des votes qu’il a reçu. Le nombre de sièges d’un parti à Ottawa devrait être proportionnel au pourcentage du vote populaire de celui-ci pour bien représenter les votes des citoyens canadiens. Voilà pourquoi le mode de scrutin proportionnel est plus démocratique.
Il faut tenir compte du fait qu’en imposant une date fixe pour les élections à tous les quatre ans, on corrige d’énormes problèmes reliés à celles-ci. Les élections deviendront plus justes pour tous les partis si on fixe une date précise. Cela prévient le parti au pouvoir d’être capable d’appeler une élection à une date qui lui convient pour avoir de meilleures chances de gagner. Cela n’est pas démocratique et est injuste pour les partis de l’opposition et leurs partisans qui ne seront pas prêts pour l’élection appelée. Avec une date précise à tous les quatre ans, la population et les partis politiques savent à quoi s’attendre et peuvent se préparer en conséquence. La date fixe est un changement facile à faire sans controverse. Il doit être fait!
Il est évident que le Sénat dans sa forme actuelle est inutile. Les sénateurs sont nommés par le Premier ministre et c’est ce dernier qui est le problème majeur. Monsieur Stephen Harper nomme ses compagnons du parti conservateur pour s’assurer que les lois acceptées par le Sénat seront celles acceptées par le parti conservateur. Cela rend le Sénat complètement illégitime car les lois qui se rendent au Sénat qui proviennent des partis de l’opposition seront immédiatement rejetées. Les sénateurs devraient être élus et non nommés. Les citoyens canadiens payent énormément de taxes pour supporter le Sénat mais celui-ci ne fait que supporter un seul parti, celui élu part 40% du vote populaire. C’est maintenant le temps d’apporter des changements au Sénat. Les contribuables canadiens attendent impatiemment.
Pour conclure, ces trois réformes feraient du Canada un pays réellement démocratique. Les citoyens canadiens doivent exiger de leur nouveau gouvernement les réformes essentielles pour obtenir à nouveau une démocratique respectée. Monsieur Harper, vous avez finalement la majorité des sièges nécessaires au Parlement pour faire des changements voulus depuis longtemps, il est temps de passer à l’action.
Il est déplorable de constater que le mode de scrutin uninominal du Canada, où l’on vote pour des candidats de partis politiques et ceux avec le plus grand nombre de votes remportent unanimement dans leur circonscription, ne fonctionne pas de manière démocratique. Le Canada doit adopter le mode de scrutin proportionnel, celui-ci est juste et représente une manière réellement démocratique d’élire un parti politique au pouvoir. Dans le mode de scrutin proportionnel, les citoyens votent pour le parti et choisissent quelques candidats parmi d’autres pour les représenter à la Chambre des communes. Le parti gagnant ne représente pas unanimement les circonscriptions. Son nombre de sièges au Parlement est déterminé par le pourcentage de votes qu’il a obtenu. Par exemple, si un parti a reçu 35% du vote populaire au Canada, alors il obtient 35% des sièges à la Chambre des communes. Si on arrondit les pourcentages des dernières élections fédérales en 2011, on constate que le parti conservateur a remporté 40% du vote populaire, soit 167 sièges à Ottawa. Cela donne aux Conservateurs 54% des sièges à la Chambre des communes même s’ils ont seulement eu 40% des votes. Les 167 sièges du parti conservateur ne reflètent pas le 40% des votes qu’il a reçu. Le nombre de sièges d’un parti à Ottawa devrait être proportionnel au pourcentage du vote populaire de celui-ci pour bien représenter les votes des citoyens canadiens. Voilà pourquoi le mode de scrutin proportionnel est plus démocratique.
Il faut tenir compte du fait qu’en imposant une date fixe pour les élections à tous les quatre ans, on corrige d’énormes problèmes reliés à celles-ci. Les élections deviendront plus justes pour tous les partis si on fixe une date précise. Cela prévient le parti au pouvoir d’être capable d’appeler une élection à une date qui lui convient pour avoir de meilleures chances de gagner. Cela n’est pas démocratique et est injuste pour les partis de l’opposition et leurs partisans qui ne seront pas prêts pour l’élection appelée. Avec une date précise à tous les quatre ans, la population et les partis politiques savent à quoi s’attendre et peuvent se préparer en conséquence. La date fixe est un changement facile à faire sans controverse. Il doit être fait!
Il est évident que le Sénat dans sa forme actuelle est inutile. Les sénateurs sont nommés par le Premier ministre et c’est ce dernier qui est le problème majeur. Monsieur Stephen Harper nomme ses compagnons du parti conservateur pour s’assurer que les lois acceptées par le Sénat seront celles acceptées par le parti conservateur. Cela rend le Sénat complètement illégitime car les lois qui se rendent au Sénat qui proviennent des partis de l’opposition seront immédiatement rejetées. Les sénateurs devraient être élus et non nommés. Les citoyens canadiens payent énormément de taxes pour supporter le Sénat mais celui-ci ne fait que supporter un seul parti, celui élu part 40% du vote populaire. C’est maintenant le temps d’apporter des changements au Sénat. Les contribuables canadiens attendent impatiemment.
Pour conclure, ces trois réformes feraient du Canada un pays réellement démocratique. Les citoyens canadiens doivent exiger de leur nouveau gouvernement les réformes essentielles pour obtenir à nouveau une démocratique respectée. Monsieur Harper, vous avez finalement la majorité des sièges nécessaires au Parlement pour faire des changements voulus depuis longtemps, il est temps de passer à l’action.
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Alex Battah,
École L'Odyssée,
Moncton N.-B.
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